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PDL-145T : Le Gouvernement Congolais accélère la mise en œuvre du PDL-145T…

DÉTAIL ACTUALITÉS PDL-145T : Le Gouvernement Congolais accélère la mise en œuvre du PDL-145T et renforce la gouvernance ACTUALITES A LA UNE Le 19 septembre 2024, une réunion cruciale s’est tenue au Fleuve-Congo Hôtel de Kinshasa sous la présidence du Vice-Premier Ministre, Guylain Nyembo. Cette rencontre a réuni les ministres en charge du Programme de Développement Local des 145 Territoires (PDL-145T), à savoir les ministres de l’Agriculture, de l’Aménagement du Territoire, de l’Éducation Nationale, de la Santé Publique et Prévoyance Sociale, des Infrastructures et Travaux Publics, du Développement Rural, ainsi que la vice-ministre des Finances. L’objectif de la réunion était de dynamiser et d’accélérer la mise en œuvre du PDL-145T, un programme phare du gouvernement congolais. Le PDL-145 T, initié par le Président de la République, Félix Antoine TSHISEKEDI, est devenu un projet phare, largement scruté de près par les médias, la population, les organes législatifs… Avec une échéance fixée à décembre 2025, l’urgence d’agir est palpable. Cette session spéciale du Comité Opérationnel National du PDL-145T (CONA 5) a permis de passer en revue les recommandations formulées lors des deux réunions précédentes. Ces recommandations, essentielles pour la bonne exécution du programme, seront soumises à la Première Ministre, Judith Sumniwa, pour validation et mise en œuvre. Recommandations clés pour une mise en œuvre efficace Parmi les principales recommandations, on note : ➢ L’installation des forages sur tous les sites du volet 1 et l’équipement des centres de santé en dispositifs et matériels médicaux ( hors budget du PDL-145 T, à charge du Ministère de la Santé & Prévoyance Sociale). ➢ La mise en place de mesures pour encadrer les procédures de passation de marchés afin de réduire leur durée ; ➢ L’alignement sur les options proposées par le CONA pour le financement des autres volets et composantes du programme ; ➢ Le déblocage des fonds pour assurer la coordination du programme et garantir sa bonne exécution ; ➢ L’implication des structures étatiques génératrices de ressources dans le financement du PDL-145T ; ➢ L’intégration d’une ligne budgétaire dédiée à la réorganisation de la communication sur le programme, en impliquant notamment les radios communautaires et les paroisses ; ➢ L’organisation d’une revue à mi-parcours pour évaluer les progrès du PDL-145T ; ➢ L’accélération de la mise en œuvre du volet 1. À l’issue de cette réunion, l’équipe ministérielle du CONA a exprimé sa confiance dans l’atteinte des objectifs du programme. L’engagement collectif de toutes les parties prenantes est perçu comme une garantie de succès pour le PDL-145T, qui constitue une pierre angulaire des efforts de développement local et de transformation socio-économique en RDC. Le PDL-145T, qui vise à développer les territoires les plus reculés du pays, demeure un programme essentiel pour améliorer le bien-être des populations et promouvoir le développement durable à l’échelle nationale. Cellule de Communication & Médias Partager Récents

Droit de réponse du Ministère du Plan et de la CAD à…

DÉTAIL ACTUALITÉS Droit de réponse du Ministère du Plan et de la CAD à la suite des accusations mensongères distillées par le media Ouragan.cd contre Son Excellence Guylain ACTUALITES A LA UNE COMMUNIQUÉ DE PRESSE Droit de réponse du Ministère du Plan et de la Coordination de l’Aide au Développement à la suite des accusations mensongères distillées par le média Ouragan.cd contre Son Excellence Guylain Nyembo Mbwizya, concernant le projet d’études de faisabilité pour la construction d’un immeuble R+5 destiné aux archives et bureaux du Ministère et de ses divers services techniques. Le 10 septembre 2024, la bonne foi de l’opinion publique, dans son droit à la vraie information, a été abusée à la suite de la parution d’un article de presse en ligne, publié sur le site Ouragan.cd à propos de l’attribution provisoire au Bureau d’Etudes Klaroff, du marché relatif au recrutement d’un Consultant (Cabinet/Firme) pour la réalisation d’une étude de faisabilité pour la construction d’un immeuble R+5 pouvant abriter les archives et les Bureaux du Ministère du Plan et de la Coordination de l’Aide au Développement. Signée par un certain M. Pold LEVI MAWEJA, sûrement en quête du sensationnel pour cette catégorie de journalistes qui croient n’être soumis ni à la loi ni à l’éthique et à la déontologie de leur profession et naguère qualifiés, dans des circonstances similaires, de « terroristes de clavier », cette livraison reprise par plusieurs autres médias distillait de fausses informations et des accusations gratuites contre Son Excellence Monsieur Guylain NYEMBO MBWIZYA, Vice-Premier Ministre, Ministre du Plan et de la Coordination de l’Aide au Développement en rapport avec le dossier de la Tour du Plan. L’auteur de ce papier l’accuse d’avoir entraîné le Trésor public dans un projet budgétivore dont les études de faisabilité vont coûter une bagatelle somme de plus de 410 millions, d’avoir attribué le marché à une firme (Bureau d’études Klaroff) inconnue, et doute même du mode de passation de ce marché, et même de l’opportunité du projet. Face à ce qui s’apparente aux « faux bruits » contre ce fidèle et digne serviteur de la République dont l’engagement et le sens de l’Etat ne sont plus à démontrer dans l’observance des devoirs de son Etat, de l’honneur et de la dignité de ses fonctions, le Ministère du Plan et de la Coordination de l’Aide au Développement réprouve et condamne avec la plus grande fermeté ces accusations mensongères, infondées et malveillantes portées contre le Vice-Premier Ministre, Guylain Nyembo Mbwizya. Ces accusations sont motivées par la seule volonté malicieuse de ternir la réputation d’un homme qui, dans l’exercice des charges publiques, ailleurs comme aujourd’hui à la tête de ce Ministère, s’est toujours distingué par son engagement sans faille à redorer l’image des institutions, en l’espèce, en lui faisant jouer efficacement son rôle de planification et de suivi de la politique de développement économique et social de notre pays, et en le replaçant ainsi au carrefour de toutes les actions gouvernementales pour le bien-être de nos populations. Le Ministère du Plan et de la Coordination de l’Aide au Développement tient à apporter les précisions ci-après : 1. Le besoin de construction dans la parcelle que le Ministère occupe d’un immeuble R+5 devant abriter ses bureaux et ses différents services techniques découle d’une décision du Gouvernement prise en 2022, motivée par le fait que cette parcelle est sa propriété, raison pour laquelle le Ministère ne pouvait aller abriter ailleurs ; 2. A cet effet, soucieux de répondre à ce besoin urgent et donner plein effet à la décision du Gouvernement dans le strict respect de la procédure légale, le Ministère a lancé le 20 mai 2022, un Avis à Manifestations d’Intérêt (AMI), ouvert à tous les potentiels candidats pour réaliser les études de faisabilité, préalables à l’exécution du projet ; Au lancement, suivant une procédure ouverte (Appel d’offre), six Cabinets/Firmes ont exprimé leur intérêt pour réaliser ces études, à savoir : le Groupe MUAMBA, le groupement ARTER SARL + VSI AFRIQUE, le cabinet GREEN STUDIO & PARTNERS, AFRICAN ENGINEERING & CONSULTING, le Cabinet YAMBO & ASSOCIÉS et le Cabinet KLAROFF ; 3. Toute la procédure de conclusion de ce marché, dont les différentes étapes légales ont été franchies avant la nomination du Vice-Premier Ministre à la tête de ce Ministère, a été régulièrement conduite et documentée par les rapports, procès-verbaux et Avis de Non Objection légalement requis en pareille occurrence, lesquels ont été régulièrement émis par la Direction Générale du Contrôle des Marchés Publics (DGCMP) et publiés sur le site de l’Autorité de Régulation des Marchés Publics (ARMP). Pour peu que l’on connaisse les règles même élémentaires de la commande publique, un moindre effort des auteurs de ces accusations dans la consultation de ce dossier du reste publié sur le site de l’ARMP aurait suffi pour donner aux Congolaises et Congolais la vraie information certifiée, ce qui met à nu cette intention de distiller de faux bruits et faire du sensationnel. Après examen des offres respectives, le Bureau d’études KLAROFF a été retenu par la Commission de passation des marchés avec un score de 90, 80%, devant GREEN STUDIO + PARTNERS (88,80%) et ARTER SARL + VSI AFRIQUE (85,70%). Le marché a été attribué pour un montant global de 410.463.750,69 francs congolais (CDF) toutes taxes comprises, équivalant à 146.594, 19 USD au taux de 2.800 FC. C’est donc à dessein que ces détracteurs ont délibérément indiqué le montant du marché sans faire mention de la monnaie qui est le franc congolais afin de faire croire à une autre saga de « million de dollars américains » et entretenir une confusion dans l’opinion publique par l’effet de l’intoxication. 4. La décision d’attribution provisoire au Bureau d’études KLAROFF, seul acte posé par son Excellence Monsieur le Vice-Premier Ministre en vertu du principe de la continuité de l’Etat et qui exprime une compétence liée du fait de toute la procédure légale menée, est donc régulière, car fondée sur une documentation suffisante et disponible (AMI, DP, Rapports, Procès-Verbaux et Avis de Non Objection). 5. S’agissant du

Forum Indonésie-Afrique : Le VPM Guylain Nyembo a été très sollicité lors…

DÉTAIL ACTUALITÉS Forum Indonésie-Afrique : Le VPM Guylain Nyembo a été très sollicité lors du 2ème Forum Indonésie-Afrique ACTUALITES A LA UNE Le Vice-Premier Ministre, Ministre du Plan et de la Coordination de l’Aide au Développement, Guylain Nyembo a été très sollicité lors du deuxième Forum Indonésie-Afrique, organisé du premier au 3 septembre à Bali, petite île de la République d’Indonésie (Asie). Après son discours prononcé à l’ouverture du Forum (Session des chefs d’Etat où il a représenté le Président de la République, Felix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO), il a par la suite participé à des réunions bilatérales et à des sessions parallèles organisées dans le cadre du Forum de Haut Niveau sur les partenariats multipartites.  Le mardi 03 septembre, Guylain Nyembo a eu une réunion bilatérale avec M. Suharso Monoarfa, Ministre indonésien de la Planification du Développement national. Ils ont échangé sur le renforcement de la coopération entre les deux pays en matière de financement du développement. Le Vice-Premier Ministre a également accordé deux interviews aux médias indonésiens : la première à l’Unité de communication qui a organisé le Forum de Haut-Niveau sur le Partenariat mondial ; la seconde à dix médias locaux, à la suite de sa rencontre avec le Ministre indonésien de la Planification du Développement national. Ces interviews ont porté essentiellement sur le bénéfice que le Sud global peut tirer du Sommet Indonésie-Afrique, sur ce que l’Indonésie peut faire davantage pour renforcer la coopération Sud-Sud, et sur les coopérations bilatérales attendues de l’Indonésie… Panéliste très suivi Dans la même journée du 3 septembre, Guylain Nyembo a activement participé à deux sessions parallèles de grande importance : l’une, sur la thématique « Renforcer l’efficacité du financement des Objectifs du Développement Durable (ODD) : des engagements forts, des actions plus importantes » ; et l’autre, autour du thème « Comment l’exercice de suivi du Partenariat Mondial rend la coopération au développement plus efficace et permet aux pays de se l’approprier. » Lors de la première session sur les ODD, le Vice-Premier Ministre a évoqué le Programme de Développement Local des 145 Territoires (PDL-145), pour répondre à la préoccupation liée à l’identification des priorités de développement en RDC et se rassurer que la population participe réellement à la définition de ces priorités. « Quand vous regardez la stratégie qui avait été utilisée pour recueillir les priorités en termes de ce qui devait être fait, c’est l’enquête. Le Président de la république avait décidé à ce qu’on lance une enquête au niveau de la population de base, pour développer le pays de manière inclusive. Nous avions recueilli tous les avis et avions établi les priorités en partant de grands axes du Programme de développement du pays », a indiqué à ce sujet, Guylain Nyembo. Comme priorités issues de cette enquête, il a cité les infrastructures, la gouvernance pour améliorer la question du financement, la question du capital humain (santé, éducation). « A partir de ces grands axes, nous avons travaillé sur la diversification en allant vers l’Agriculture qui est notre grande force, a expliqué Guylain Nyembo. Nous avons une carte quinquennale pour faire de grands croisements à l’intérieur [du pays], et nous avons lancé les routes agricoles pour rejoindre les grands axes [routiers] dans le but d’évacuer les produits agricoles vers les grandes villes. Nous avons aussi un plan pour permettre aux populations, au niveau des provinces, de convertir leurs structures économiques et d’éviter d’utiliser les matières qui peuvent servir à la protection de l’environnement… » Une vision claire sur l’aide au développement En rapport avec les orientations dans le domaine de la coopération, sujet abordé lors de la session Partenariat Mondial, le Vice-Premier Ministre a mis principalement l’accent sur deux points importants : les nécessités de transparence et d’efficacité dans le processus de l’aide au développement. « Nous avons besoin, a-t-il dit, que nos partenaires puissent se rendre compte de l’évolution qui est en train de se réaliser dans nos pays, comment nous passons d’une étape à une autre, quelles sont nos véritables priorités, où nous devons engager nos ressources pour que ça soit efficace en termes de développement de notre population. » Pour Guylain Nyembo, la transparence est importante parce que non seulement elle permet aux pays bénéficiaires de se rendre compte de l’efficacité de l’aide au développement, et aussi de rendre compte à leurs populations de “qui fait quoi, comment et pour quels résultats.” « A partir du moment où l’on parle de l’appropriation du processus de l’aide au développement, il est très important que la vision soit claire, que les objectifs soient bien définis. Et quand l’on prend la notion des priorités qui est aussi importante dans ce cycle, en traitant par exemple la question des financements, quand nous regardons les résultats que nous voulons atteindre, ça permet la mobilisation, l’allocation des ressources et des orientations. Ça rend efficace la réalisation des objectifs que nous voulons avoir », a insisté Guylain Nyembo. Il a aussi parlé de l’importance du cycle d’évaluation de l’aide au développement qui permet de relever les difficultés et de se rendre compte de l’efficacité ou non des actions engagées, dans le but d’apporter des améliorations et d’avoir de nouvelles stratégies.  Le Vice-Premier Ministre a évoqué, à cet effet, la nouvelle dynamique que la RDC en train de mettre en place sur la coordination de l’aide au développement. « Nous voulons que tout le monde puisse se mettre d’accord, a déclaré Guylain Nyembo. Nous allons pour cela mettre en place un cadre réglementaire qui va organiser cet espace. Nous voulons prendre le leadership dans cette coordination parce qu’au final, cela nous concerne et c’est nous qui savons comment notre pays devra se développer. » Autre question importante en matière d’aide au développement citée par le Vice-Premier Ministre : la diversification de l’économie. « Aujourd’hui, nous sommes dans un processus de diversification de notre économie. Là aussi, c’est une question cruciale pour notre pays de s’assurer que la feuille [de route] que nous avons tracée pour la diversification est partagée pour qu’elle puisse mobiliser et créer suffisamment de motivation et permettre au secteur privé de dégager des capitaux

Réunion Bilatérale Suède – RDC : Sur le Partenariat Mondial

DÉTAIL ACTUALITÉS Réunion Bilatérale Suède – RDC : Sur le Partenariat Mondial ACTUALITES A LA UNE Le Vice-Premier Ministre, Ministre du Plan et de la Coordination de l’Aide au Développement, Guylain Nyembo a eu une réunion bilatérale, lundi 02 septembre 2024 à Bali (île indonésienne), avec Mme Marie Ottosson, Directrice adjointe de l’Agence Suédoise de Développement International (SIDA). Au cours de cette rencontre, les deux personnalités ont échangé sur trois sujets : la réflexion de la République Démocratique du Congo (RDC) et de la Suède sur leur rôle de co-présidentes du Partenariat Mondial pour une coopération efficace au service du développement ; la progression du suivi du Partenariat Mondial en RDC ; et les priorités des deux pays en matière d’efficacité du développement et de la 4ème Conférence internationale sur le financement du développement (FfD4).  Il est a noté qu’en tant que Co-présidente du Partenariat Mondial depuis 2019, la RDC a contribué : à la revue du Partenariat Mondial et celle de l’enquête de suivi ; à l’organisation des consultations régionales avec l’appui de l’Agence de Développement de l’Union Africaine (AUDA-NEPAD) ; à la préparation du projet de Document final du Sommet de Genève ; au partage politique de « l’Agenda de l’Efficacité » et la mobilisation des parties prenantes au niveau mondial et régional à l’occasion des rencontres internationales telles que le Forum de Busan, le Forum Politique de Haut Niveau sur les ODD ; et à la mobilisation des pays partenaires pour leur participation au 4ème cycle de suivi du partenariat Mondial. Dans ce cadre, il est prévu que la RDC passe prochainement le témoin de la co-présidence à l’Egypte.  Progression du suivi du Partenariat Mondial En ce qui concerne la progression du suivi du Partenariat Mondial, la RDC a procédé à la soumission finale des données. Le pays attend, pour les prochaines étapes, la diffusion des résultats par l’Equipe d’Appui Conjointe (OCDE/PNUD) avant la tenue d’un dialogue d’actions avec toutes les parties prenantes.  Concernant les priorités de la RDC et de la Suède en matière d’efficacité du développement et de la 4ème Conférence internationale sur le financement du développement (FfD4), les actions suivantes ont été retenues : renforcer les mécanismes de coordination et de gestion de l’aide au niveau des pays en vue de rendre plus efficaces les interventions des partenaires sur les priorités nationales ; diversifier et accroître l’accès aux financements ; établir des relations de collaboration avec le secteur privé dans le cadre des financements innovants pour mettre en œuvre des projets de développement dans des secteurs clés tels que la santé, l’éducation, les infrastructures, l’environnement… A cela s’ajoute d’autres priorités : investir dans le renforcement des capacités institutionnelles afin de développer les compétences notamment sur l’élaboration des politiques et stratégies de développement, la définition des mécanismes de suivi-évaluation ; soutenir l’innovation en permettant aux jeunes entrepreneurs d’accéder aux financements pour des projets novateurs dans les secteurs de technologies vertes et numériques ; contribuer à façonner des politiques et pratiques au niveau mondial, qui favorisent un environnement propice au développement ; et renforcer la confiance entre acteurs, notamment à travers la transparence et la responsabilité mutuelle sur les projets et programmes de développement mis en œuvre. Cellule de Communication & Médias Partager Récents

Forum Indonésie – Afrique : Le VPM Guylain Nyembo déclare « Un…

DÉTAIL ACTUALITÉS Forum Indonésie – Afrique : Le VPM Guylain Nyembo déclare « Un avenir commun Afrique-Indonésie est possible » ACTUALITES A LA UNE Le Vice-Premier Ministre, Ministre du Plan et de la Coordination de l’Aide au Développement de la République Démocratique du Congo (RDC), Guylain Nyembo Mbwizya a déclaré, lundi 02 septembre 2024, lors de l’ouverture du deuxième Forum Indonésie-Afrique (IAF 2024) qui se tient à Bali, petite île de l’Indonésie (Asie), qu’un « avenir commun entre l’Afrique et l’Indonésie est plus que possible. » Mais, prenant la parole au nom d’un Etat en proie à une agression perpétrée par un autre pays du Sud, dans la partie Est de son territoire, «j’aimerais dire que ces “futures possibles” ne pourront être envisagés qu’en s’en tenant au strict respect des principes consacrés par la Conférence de Bandung de 1995 ainsi qu’à l’Agenda 2063 », et « si nous parvenons à faire taire les armes, à respecter la souveraineté et l’intégrité territoriale de chacun des Etats, et que nous nous consacrons, ensemble, résolument et sincèrement, à la promotion des intérêts mutuels et à la coopération », a précisé à sujet, Guylain Nyembo. Chef de délégation et représentant du Chef de l’Etat Felix-Antoine TSHISHEKDI TSHILOMBO et du Gouvernement congolais à ce Sommet qui accueillent 32 pays, le Vice-Premier Ministre s’est réjoui de la tenue de ce forum, placé sous le thème « Esprit de Bandung pour l’Agenda 2063 de l’Afrique. » Un thème qui rappelle, a-t-il dit, les relations historiques et étroites liant l’Afrique et l’Asie, et qui offre l’opportunité unique de réflexion sur les “futurs possibles” entre les deux continents, en particulier l’élargissement du spectre de coopération en vue de réaliser un développement économique inclusif et intégral, conforme aux objectifs de l’Agenda 2063 en matière de Développement durable.  Deux axes de coopération Indonésie-Afrique Pour Guylain Nyembo, la RDC entrevoit ces “futurs possibles” à travers deux axes : l’accroissement du volume des échanges de biens et de services entre le marché indonésien et le marché africain intégré ; et l’intensification de la coopération dans le domaine de la transition énergétique, avec des investissements conséquents dans la production d’énergies renouvelables, en vue notamment de lutter efficacement contre le réchauffement climatique. L’Afrique et l’Indonésie partagent de grands défis, a dit Guylain Nyembo. Il a cité le recul de la pauvreté, la captation du dividende démographique et la résilience face aux changements climatiques, des « priorités qui appellent à des actions concertées et efficientes au plus haut niveau et partout où l’avenir de nos populations est discuté », a-t-il soutenu. C’est fort de ce principe que la RDC et l’Indonésie, aux côtés du Brésil et de la République du Congo (Brazzaville), « ont porté aux nues l’initiative dite des Trois Bassins : Amazonie, Congo et Bornéo Mékong, dans laquelle il est question d’élaborer une stratégie commune relative à l’application de l’accord de Paris sur le Climat », a conclu le Vice-Premier Ministre, Ministre du Plan et de la Coordination de l’Aide au Développement de la RDC. Cellule de Communication & Médias Partager Récents

HLF MLP : FORUM DE HAUT NIVEAU SUR LES PARTENARIATS MULTIPARTITES

DÉTAIL ACTUALITÉS HLF MLP : FORUM DE HAUT NIVEAU SUR LES PARTENARIATS MULTIPARTITES ACTUALITES A LA UNE Le VPM Guylain Nyembo lance des appels au Sud global pour lutter contre l’injustice climatique, la criminalité transnationale et le blanchiment des minerais de sang En marge du Forum de Haut-niveau sur les partenariats multipartites qui se tient à Bali (île indonésienne), le Vice-Premier Ministre, Ministre du Plan et de la Coordination de l’Aide au Développement, Guylain Nyembo a participé comme panéliste, à la Session plénière de Haut-Niveau organisée autour du thème « Construire des ponts : libérer tout le potentiel du Sud mondial grâce à des partenariats multipartites. »  Lors de cette Session plénière, Guylain Nyembo a choisi de parler de la “Justice climatique“, de la “criminalité transnationale” et du “blanchiment des minerais de sang“, trois sujets cruciaux qui doivent attirer l’attention du Sud global en matière de partenariats multipartites. Au sujet de la Justice climatique, le Vice-Premier Ministre s’est dit heureux de voir la RDC rejoindre l’Indonésie et le Brésil, dans la demande des pays insulaires qui réclament justice, parce que victimes du réchauffement climatique causé par les pays industrialisés qui sont les principaux pollueurs au monde. « Vous voyez que les trois grands leaders se sont joints à ces (10) pays insulaires. C’est ça que nous voulons pour régler ensemble les problèmes et progresser dans le processus de développement », a déclaré Guylain Nyembo. Appel à la solidarité judiciaire internationale Parlant de la criminalité transnationale, le Vice-Premier Ministre a évoqué les conflits qui déchirent certaines régions du monde et qui entravent les efforts de développement, particulièrement en RDC. Il a, à cet effet, lancé un appel à la solidarité judiciaire internationale, pour arrêter tous ceux qui sont à la base de ces conflits. « Nous sommes tous appelés à ne pas permettre aux criminels qui perturbent les processus de développement de chacun de nos pays, de trouver de l’appui dans un pays voisin ou dans d’autres régions », a-t-il plaidé. Sur le blanchiment des minerais de sang, le Vice-Premier Ministre s’est attardé sur la guerre de prédation économique qui sévit à l’est de la RDC depuis maintenant près de trois décennies, causant le “Génocost”, le Génocide congolais. « Aujourd’hui, c’est une histoire mise à nu à travers le monde sur l’est de la RDC, où vous avez toute cette maffia qui tourne autour [malheureusement] du Rwanda, de Kigali ; où vous avez une opération d’un autre pays du Sud qui provoque une guerre, tue, déplace les populations essentiellement dans les parties riches en minerais, pour exploiter ces minerais et les servir à certaines grandes puissances et grandes industries du monde », a fermement dénoncé Guylain Nyembo. Notre pays a besoin que tous les pays qui se sentent concernés par la question essentielle de développement de la RDC, pays moteur du continent (africain) et de bon nombre des pays du Sud, que « ces pays puissent se joindre à nous pour que cette cause soit défendue », a insisté Guylain Nyembo.  ODD : priorités en matière de Coopération internationale  Cette Session plénière a également permis au Vice-Premier Ministre, Ministre du Plan et de la Coordination de l’Aide au Développement de la RDC, de répondre à certaines préoccupations, en rapport notamment avec les aspects prioritaires de la Coopération internationale. Pour Guylain Nyembo, que ça soit au niveau mondial ou Sud-Sud, cette coopération repose aujourd’hui sur la réalisation des Objectifs du Développement Durable (OOD).  Il a, à ce propos, insisté sur la nécessité de transformer la manière de coopérer dans le partenariat mondial. « Nous sommes appelés à travailler de sorte que nous puissions surtout nous aligner sur les priorités de chacun de nos pays pour permettre l’efficacité de la coopération, a-t-il plaidé. Il faudra que nous puissions rentrer dans un processus d’amélioration continue de notre manière de faire les choses pour que tout le monde se mette d’accord dans le cadre de cette coopération. Ça va faciliter la question de la transparence entre partenaires, et aussi la visibilité sur les opportunités et les difficultés dans le cadre des échanges d’expériences de différents pays. » Cellule de Communication & Médias Partager Récents

JMP 2024 : Urgence d’organiser le 2ème recensement scientifique pour des politiques…

DÉTAIL ACTUALITÉS JMP 2024 : Urgence d’organiser le 2ème recensement scientifique pour des politiques publiques efficaces en RDC ACTUALITES A LA UNE La République Démocratique du Congo a célébré, le mardi 27 août 2024 au Fleuve Congo Hôtel, la Journée Mondiale de la Population, placée cette année sous le thème « Exploiter le pouvoir des données inclusives pour un avenir résilient et équitable pour tous. » La célébration de cette journée en partenariat avec le Fonds des Nations-Unies pour la Population (UNFPA-RDC), a été mise à profit par les différents intervenants du jour pour mettre l’accent sur la nécessité urgente d’organiser un deuxième recensement scientifique en RDC, après celui réalisé en 1984, il y a 40 ans. Dans son discours de circonstance, le Vice-Premier Ministre du Plan et de la Coordination de l’Aide au Développement, Guylain Nyembo a noté que le thème retenu cette année coïncidait justement avec le projet de société du Président de la république et les préparatifs du lancement du deuxième Recensement Général de la population et de l’Habitat. « En effet, l’organisation de ce deuxième recensement, appelé des vœux du Chef de l’Etat, se veut une priorité, mieux une impérieuse nécessité », a déclaré Guylain Nyembo. Ce deuxième recensement permettra, a-t-il dit, de doter la RDC de données actualisées et inclusives, essentielles pour l’élaboration des politiques publiques adaptées aux réalités sociodémographiques et socio-économiques du pays. Appui réaffirmé de l’UNFPA Guylain Nyembo a annoncé, à cet effet, que le Gouvernement entend réaliser, dans les meilleurs délais et avec l’appui des partenaires, non seulement le Recensement Général de la Population et de l’Habitat et des enquêtes régulières, mais aussi : Renforcer l’Institut National de la Statistique (INS) par la dotation de moyens techniques et institutionnels supplémentaires ; Revoir et mettre à jour les méthodologies statistiques en conformité aux standards internationaux et aux cadres méthodologiques des enquêtes et recensements ; Renforcer les partenariats et les collaborations internationales (Banque Mondiale, FMI, BAD, Agences des Nations-Unies) ; Promouvoir la culture statistique et de l’utilisation des données ; Mettre en place des cadres légaux et réglementaires pour soutenir le développement du système statistique national… Le Représentant Résident de l’UNFPA en RDC, Mady BIAYE a évoqué les conséquences du retard pris par la RDC dans la production des données démographiques actualisées. L’absence de données démographiques fiables compromet la capacité du pays à mesurer les progrès réalisés vers l’atteinte des Objectifs de Développement Durable (ODD), a-t-il déclaré. Mady BIAYE a par conséquent réaffirmé le soutien de son organisation au gouvernement congolais pour organiser le deuxième RGPH. « Le dernier RGPH organisé en RDC date d’il y a 40 ans. C’est un retard considérable », a-t-il déploré, tout en assurant l’engagement de l’UNFPA à accompagner la RDC dans ce processus crucial. L’UNFPA se dit prêt à aider la RDC à exploiter le pouvoir des données inclusives pour construire des systèmes et des sociétés résilients.  10 ans : cycle normal des recensements Dans sa présentation du Rapport sur l’état de la population mondiale 2024 et défis pour la RDC, le Professeur MANGALU MOBHE a fait savoir qu’à cause de la non-organisation du recensement scientifique depuis 40 ans, la population de la RDC évaluée actuellement autour de 100 millions d’habitants, est le fait des estimations et projections des Nations-Unies. Normalement, « le recensement scientifique de la population doit être organisé suivant un cycle de dix ans », pour une meilleure prise en compte des données sociodémographiques dans les politiques publiques de développement, a fait remarquer MANGALU MOBHE. Ces différents discours et exposés ont donné lieu à de riches débats autour des défis et des enjeux liés au Recensement Général de la Population et de l’Habitat en RDC. La nécessité d’une action rapide pour lancer ce recensement n’a jamais été aussi pressante pour l’élaboration des politiques publiques équilibrées et inclusives et le développement du pays. Cellule de Communication & Médias Partager Récents

FNODD : Le VPM SEM Guylain Nyembo insiste sur l’urgence à finaliser…

DÉTAIL ACTUALITÉS FNODD : Le VPM SEM Guylain Nyembo insiste sur l’urgence à finaliser la Feuille de route d’accélération des ODD ACTUALITES A LA UNE Le Vice-Premier Ministre, Ministre du Plan et de la Coordination de l’Aide au Développement, Guylain Nyembo a lancé, mardi 20 août à l’hôtel Rotana (Kinshasa), un appel sur l’urgence qu’il y a à finaliser la Feuille de route d’accélération des Objectifs du Développement Durable (ODD) et de son cadre des résultats, dans le but de son adoption dans les meilleurs délais en Conseil des ministres et de sa mise en œuvre effective. C’était lors de l’ouverture du deuxième Forum national sur les ODD, préparatoire au Sommet de l’Avenirdes Nations-Unies sur les ODD qui se tiendra en septembre 2024 à New-York (États-Unis). « … Les défis auxquels notre pays est confronté n’attendent guère. Il y a urgence et il nous est interdit de le perdre de vue, a déclaré le Vice-Premier Ministre, dans son mot d’ouverture de ce Forum qui regroupe des Experts du Ministère du Plan et de la Coordination de l’Aide au Développement, ceux de l’Observatoire Congolais du Développement Durable (OCDD), les partenaires techniques et financiers et d’autres personnes-ressources. Le Forum va permettre d’identifier les activités ; de déterminer les indicateurs et le chronogramme pour chaque activité ; de déterminer le coût estimatif et la responsabilisation des activités. Les ODD : défis mondiaux Dans son intervention, le Coordonnateur de l’OCDD, Modeste Kakanda a précisé qu’il ne s’agissait pas d’élaborer une « nouvelle Feuille de route » au cours de ce Forum, mais de faire des « propositions de réformes et actions accélératrices des ODD. » Cela passe par : la capitalisation des réformes en cours et propositions des nouvelles réformes ; l’identification des actions et interventions. « Les actions et interventions doivent être en cohérence avec le cadre programmatique national », a-t-il ajouté.  La RDC va présenter cette Feuille de route d’accélération des ODD lors du Sommet de l’Avenir consacré aux enjeux du Programme de Développement Durable qui arrive à échéance en 2030. A quelques semaines de ce Sommet, Guylain Nyembo a fait mention de “l’incapacité pour la communauté des Nations à relever le défi de la pleine réalisation des ODD dans les six prochaines années.” « En effet, il avait été dressé lors du Sommet de septembre 2023, le sombre constat que seuls 15% des indicateurs de suivi des ODD demeuraient en bonne voie pour une pleine réalisation ; tandis que 48% d’entre eux présentaient un retard modéré ou grave ; et 37% enregistraient une stagnation, voire un recul par rapport à la situation qui prévalait en 2015 », a indiqué Guylain Nyembo. RDC : revenir sur la trajectoire La RDC ne s’écarte pas de cette tendance mondiale, a fait remarquer le Vice-Premier Ministre. Il a notamment cité le Rapport national d’examen volontaire présenté en septembre 2023 à New-York, qui indique que seuls les ODD 12 et 13 pouvaient encore être pleinement réalisés en RDC d’ici à 2030. « Cette situation est la somme de nombreux défis auxquels notre Nation est confrontée dans sa quête d’un développement durable », a-t-il expliqué. Pour Guylain Nyembo, la situation de la RDC est loin d’entamer la confiance du Gouvernement. « Ces défis nous renforcent dans notre volonté de mettre en œuvre les interventions et les reformes accélératrices, notamment celles qui doivent nous permettre de revenir sur la trajectoire du plus grand nombre d’objectifs du Développement durable d’ici 2030, comme l’a indiqué le Président de la République, Son Excellence Felix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, lors de son allocution au Sommet des ODD de 2023 », a déclaré le Vice-Premier Ministre.  La Coordinatrice Résidente ad intérim du Système des Nations-Unies en RDC, Mme Angele Dikongue Antangana, a indiqué dans son discours, que la Feuille de route constituera la réponse et l’engagement du Gouvernement de la RDC pour lancer une “dynamique de passage à l’action pour l’atteinte des ODD.” « Les partenaires de la RDC, au rang desquels le Système des Nations Unies, s’attachera à accompagner cette dynamique et à appuyer l’opérationnalisation des réformes et politiques publiques réellement transformatrices », a-t-elle assuré. Partager Récents

PDL145T : Les travaux de construction et les équipements du Centre de…

DÉTAIL ACTUALITÉS PDL145T : Les travaux de construction et les équipements du Centre de santé BAOLONGO dans le Territoire de Bikoro à l’Equateur sont achevés ACTUALITES A LA UNE Les travaux de construction et les équipements du Centre de santé BAOLONGO dans le Territoire de Bikoro dans la Province de l’Equateur sont achevés. Partager Récents

PDL-145T : Quatrième Réunion du CONA, le VPM SEM Guylain Nyembo mise…

DÉTAIL ACTUALITÉS PDL-145T : Quatrième Réunion du CONA, le VPM SEM Guylain Nyembo mise sur l’accélération du PDL-145T ACTUALITES A LA UNE   Le Vice-Premier Ministre, Ministre du Plan et de la Coordination de l’Aide au Développement, Guylain Nyembo a présidé, mardi 20 août au Fleuve Congo Hôtel, la 4ème réunion du Comité Opérationnel National (CONA) du Programme de Développement Local des 145 Territoires (PDL-145T), dans le but de relancer ce Programme-phare du Gouvernement qui symbolise la vision de développement du Président de la République, Antoine-Felix TSHISEKEDI TSHILOMBO.  Après la tenue de la troisième réunion du CONA, le 13 août 2024, « il s’est avéré nécessaire de poursuivre nos discussions sur plusieurs sujets importants afin de relancer la mise en œuvre du PDL-145T sans tarder et avec plus d’efficacité… », a déclaré Guylain Nyembo, à l’ouverture de ces assises. La réunion a regroupé le Comité Technique de suivi du PDL-145T (CTSP), les agences d’exécution du programme (PNUD, BCeCO, CFEF), les ministres sectoriels et les membres des Taskforces chargées d’élaborer les Termes de référence des études de faisabilité, d’élaborer et de valider les Plans type, les référentiels et modules de formation, d’assurer le suivi-évaluation de l’état de mise en œuvre des activités des composantes/volets du programme. Nécessité des routes en terre stabilisée Ils ont échangé sur plusieurs points inscrits à l’ordre du jour de cette réunion. Il s’agit notamment du plan de décaissement pour la finalisation du premier volet du PDL-145T, de l’accès à l’eau potable des écoles, centres de santé et bâtiments administratifs (volet 1), des équipements médicaux destinés aux centres de santé, de la réhabilitation des routes de desserte agricole (Volet 2) et du fonctionnement des Taskforces. Concernant particulièrement les routes de desserte agricole, le Coordonnateur National du CTSP, Jean-Philippe Mukuaki a insisté sur la nécessité de passer des routes en terre battue aux routes en terre stabilisée. « Il est impérieux de quitter la terre battue et d’aller vers les routes en terre stabilisée qui offrent beaucoup d’avantages sur le plan de la technologie, de l’appropriation rapide, de la réhabilitation, de la facilité de les aligner sur les plans de développement pluriannuels », a-t-il insisté. Jean-Philippe Mukuaki a fait des recommandations à ce sujet, à savoir : l’harmonisation de la cartographie routière entre les réseaux d’intérêt national et de desserte agricole (gérée conjointement par l’Office des routes et l’Office des Voies de Desserte Agricole – OVDA) ; le renforcement des capacités des institutions routières ; le renforcement des capacités des attributaires et le financement rapide, surtout avec la saison des pluies qui revient. Satisfecit de VPM A l’issue de cette réunion, Guylain Nyembo a exprimé son satisfecit quant à l’implication de toutes les parties prenantes pour l’accélération de la mise en œuvre du PDL-145T. « Aujourd’hui, il était question de donner la possibilité aux agences de pouvoir avancer sur les études pour les autres composantes. Sur les routes, nous avons déjà des études qui ont été faites. Nous avons maintenant tous les éléments et nous allons avoir un travail entre ministres [sectoriels] pour voir comment avancer », a-t-il indiqué. Il a aussi été demandé aux agences de faire une proposition de décaissement au ministère de finances pour la suite de la mise en œuvre du PDL-145T. Cette réunion était aussi une occasion de faire appel à la Taskforce, « les équipes techniques qui travaillent sur les dossiers pour nous assurer qu’en termes de procédures, les ministres sont bien au courant de tout ce qui se passe, de sorte que les décisions qui sont prises soient mieux assumées par tous », a dit Guylain Nyembo. « C’est une équipe pour ce programme du Président de la République. Vous voyez que les ministres sectoriels sont tous là pour donner leur contribution et permettre à ce programme d’avancer rapidement », a conclu le Vice-Premier Ministre du Plan et de la Coordination de l’Aide au Développement. Partager Récents