PLAN – RDC : le VPM Guylain Nyembo soutient l’innovation de transformation…

DÉTAIL ACTUALITÉS PLAN – RDC : le VPM Guylain Nyembo soutient l’innovation de transformation des déchets plastiques d’Eco-Tech ACTUALITES A LA UNE La République Démocratique du Congo (RDC) se trouve confrontée à un défi écologique majeur, causé entre autres par l’accumulation des déchets plastiques, particulièrement à Kinshasa où leur production est estimée à des dizaines de milliers de tonnes par jour. Face à cette situation, quelques initiatives locales innovantes émergent, pour transformer cette menace en opportunité de développement durable. C’est notamment le cas de l’ONG Eco-Tech, qui a développé une invention révolutionnaire baptisée Plaston. Son président, Steve Matenda, ingénieur et défenseur de l’écologie, a reçu le 21 octobre 2024, le soutien du Vice-Premier Ministre, Ministre du Plan et de la Coordination de l’Aide au Développement, Guylain Nyembo. Dans le cabinet de travail du Vice-Premier Ministre, il est venu expliquer son invention qui permet de fabriquer du matériau éco-liant (Plaston) à partir des déchets plastiques recyclés. Le “Plaston” se présente comme une alternative écologique et économique au béton et au bitume, traditionnellement utilisés dans la construction d’infrastructures telles que les routes, les ponts et les trottoirs. Il peut aussi servir à fabriquer des pavés, des latrines écologiques, des briquettes et des bordures. Accompagner les innovations locales “Nous avons longuement discuté avec le Vice-Premier Ministre de cette solution purement congolaise qui peut aider le gouvernement à optimiser ses coûts de construction, notamment pour les routes“, a affirmé Steve Matenda. Lors de leur rencontre, l’ingénieur et défenseur de l’écologie a souligné l’importance d’un accompagnement gouvernemental pour assurer la réussite et la viabilité de cette initiative. L’une des raisons évoquées est la réduction des coûts de construction des routes. “Nous disposons de la technologie. Ce qu’il faut maintenant, c’est un accompagnement du gouvernement, via les services spécialisés tels que l’Office des Voiries et Drainage (OVD), l’Office des Routes (OR) et le Ministère des Infrastructures et Travaux Publics, pour rendre cette solution viable à grande échelle. Cela pourrait non seulement aider à assainir la ville, mais aussi à réduire les coûts des routes urbaines et de desserte agricole.” Une opportunité pour l’économie circulaire Le partenariat entre le gouvernement et des entrepreneurs locaux est un signal fort à l’entrepreneuriat local. Il s’inscrit dans une dynamique plus large de transition vers une économie circulaire en RDC. En intégrant des solutions durables telles que Plaston, le pays pourrait non seulement résoudre une partie de ses problèmes environnementaux, mais aussi générer de nouvelles opportunités de croissance économique, notamment dans les secteurs des infrastructures et du recyclage. Cette rencontre entre Guylain Nyembo et Steve Matenda illustre clairement cette volonté du gouvernement de promouvoir l’innovation locale pour répondre aux défis majeurs du pays. Cellule de Communication & Médias Partager Récents
Plan et CAD : le PAM multiplie les consultations dans le cadre…

DÉTAIL ACTUALITÉS Plan et CAD : le PAM multiplie les consultations dans le cadre de son prochain Plan Stratégique 2026-2030 ACTUALITES A LA UNE Le Vice-Premier Ministre, Ministre du Plan et de la Coordination de l’Aide au Développement Guylain Nyembo, a à nouveau reçu ce lundi 21 octobre 2024, dans son cabinet de travail, une délégation du Programme Alimentaire Mondial (PAM) conduite par Peter Musoko, Directeur Pays en RDC. Au cœur de leurs échanges, le Plan Stratégique Pays (PSP) 2026-2030 du PAM, qui entend renforcer la sécurité alimentaire, promouvoir des moyens de subsistance durables et améliorer la résilience aux crises en République Démocratique du Congo (RDC). « Nous sommes venus présenter notre plan de consultation en vue de préparer le prochain Plan Stratégique Pays, qui entrera en vigueur le premier janvier 2026 pour une durée de quatre ans. Ce processus implique une série de consultations avec les différents ministères sectoriels, d’où notre présence aujourd’hui pour solliciter le soutien du Vice-Premier Ministre », a déclaré Peter Musoko, au sortir de cette audience, soulignant l’importance de cette collaboration avec le gouvernement congolais. Le PAM a réitéré son soutien à la RDC, à travers un modèle d’intervention intégrée, combinant à la fois des actions humanitaires immédiates et des initiatives de développement à long terme. Le futur Plan Stratégique Pays du PAM sera aligné sur le Plan National Stratégique de Développement (PNSD) et les Objectifs de Développement Durable (ODD), en accord avec les priorités nationales fixées par le gouvernement congolais. Un partenariat stratégique Cette rencontre marque une nouvelle étape dans le partenariat stratégique entre le PAM et la RDC, visant à relever les défis majeurs auxquels le pays est confronté en matière de sécurité alimentaire et de développement durable. Les consultations à venir permettront de définir les axes prioritaires et les modalités d’intervention du PAM pour la période 2026-2030, avec pour objectif de répondre aux besoins les plus pressants des populations congolaises et d’accompagner durablement le développement du pays. Le Vice-Premier Ministre Guylain Nyembo a salué cette initiative et a réaffirmé la volonté du gouvernement de collaborer étroitement avec le PAM pour garantir l’efficacité et la pérennité des interventions. Ce partenariat renforcé témoigne de l’engagement commun à œuvrer pour une RDC résiliente, prospère et en phase avec les exigences du développement durable. Cellule de Communication & Médias Partager Récents
“Sommet 2024 Think Tanks d’Afrique” à Abidjan : « Pays solution, la…

DÉTAIL ACTUALITÉS “Sommet 2024 Think Tanks d’Afrique” à Abidjan : « Pays solution, la RDC a pris un bel élan dans la lutte contre le changement climatique », Guylain Nyembo ACTUALITES A LA UNE Le Vice-Premier Ministre, Ministre du Plan et de la Coordination de l’Aide au Développement, Guylain Nyembo, a participé au “Sommet 2024 des Think Tanks d’Afrique”, organisé du 8 au 11 octobre 2024 à Abidjan, en Côte d’Ivoire, autour du thème “Stratégies pertinentes de financement de la lutte contre le changement climatique en Afrique.” Après l’ouverture du Sommet, Guylain Nyembo a déclaré, le 9 octobre lors de la Session ministérielle de haut niveau consacrée aux “Approches novatrices des pays africains en matière de politique et de réglementation du financement du climat“, que depuis 2019, « avec l’arrivée [au pouvoir] du président Tshisekedi qui a positionné la RDC comme Pays solution, nous avons pris un bel élan dans la lutte contre le changement climatique. » Le “Sommet 2024 des Think Tanks d’Afrique” s’est tenu à Abidjan dans le cadre de la 33ème Réunion annuelle du Conseil des Gouverneurs de la Fondation pour le renforcement des Capacités en Afrique (ACBF), dont Guylain Nyembo est membre depuis sa nomination comme Vice-Premier Ministre, Ministre du Plan et de la Coordination de l’Aide au Développement fin mai 2024. Lors de la Session ministérielle de haut niveau, Guylain Nyembo est intervenu comme Panéliste, aux côtés du Ministre de l’Environnement, du Développement durable et de la Transition écologique de la Côte d’Ivoire ; du Vice-Ministre des affaires fiscales, Ministère des Finances et de la planification du développement du Liberia ; de la Ministre déléguée auprès du Ministre des Finances, chargée de l’Économie et du Plan du Tchad ; et du Commissaire de la Division des finances extérieures, Ministère des Finances de la Tanzanie. Financement climatique : des initiatives porteuses d’espoir Les cinq Panélistes ont répondu à trois questions essentielles : Quelles initiatives de financement climatique leurs pays ont-ils mises en œuvre avec succès et quels facteurs clés ont contribué à leur réussite ? Quelles politiques de financement n’ont pas atteint les résultats escomptés et quelles leçons tirer de ces expériences ? Et quels obstacles leurs pays ont-ils rencontrés dans la mobilisation du financement climatique et comment ont-ils relevé ces défis ? Dans le cas de la République démocratique du Congo (RDC), le Vice-Premier Ministre a évoqué en premier le programme REED+ mis en place dans le cadre de la réduction des émissions provenant du déboisement et de la dégradation des forêts. « Comme vous le savez, la RDC regorge d’au moins 60% des forêts africaines, avec une capacité d’absorption d’au moins 1,2 milliards de tonnes de CO2 par an », a fait observer le Vice-Premier Ministre. Parmi les initiatives mises en place depuis 2022, Guylain Nyembo a cité le Plan national d’adaptation au changement climatique, la création d’agences pour la transition écologique, la nomination d’un Envoyé spécial et la création d’un poste de Ministre délégué en charge du climat. « C’est un effort qui est aujourd’hui engagé avec une stratégie très claire pour permettre au pays de pouvoir compter sur ses ressources », a-t-il assuré, ajoutant que le climat occupait une place de choix dans le nouveau Programme National Stratégique de Développement (PNSD). Appel à la solidarité africaine Il a ensuite parlé de diverses autres initiatives susceptibles d’attirer des financements en RDC : la création du Fonds climat pour le pays, la relance avec l’appui de la Banque Mondiale et de la Banque africaine de Développement (BAD) du projet Grand Inga qui a un énorme potentiel de production hydroélectrique pour le pays et toute la région, les discussions avec le PNUD dans le cadre du marché Carbone, la stratégie commune des pays abritant les trois grands bassins forestiers mondiaux (Amazonie/Brésil, RDC, Bornéo Mékong/Indonésie), ou encore les partenariats publics-privés dans le domaine du traitement des déchets. Au sujet des obstacles rencontrés dans la mobilisation du financement climatique, Guylain Nyembo a soulevé quelques préoccupations : « On demande à l’Afrique de travailler sur les Objectifs du développement durable (ODD). Mais il faut des moyens pour nous permettre de restructurer les économies dans nos pays, s’est-il exclamé, citant en exemple le Programme de Développement Local des 145 Territoires en RDC, qui planifie un développement concomitant dans tout le pays. Il est prévu de travailler sur l’énergie verte et l’agriculture verte parce que dans ce programme, il y a le développement de l’économie locale basée sur l’agriculture et les routes agricoles. » Au regard des défis auxquels les pays africains sont confrontés, Guylain Nyembo a lancé un appel à la solidarité. « Parce qu’on nous dit qu’il faut faire des efforts avec toutes les richesses que nous avons pour sauver le monde, d’accord. Mais nous avons des populations pauvres. Pour accélérer notre développement, nous devons avoir une stratégie commune en tant qu’Africains pour nous aider à mobiliser les ressources et à renforcer nos capacités », a conclu le Vice-Premier Ministre de la RDC. Réunion avec le SE de l’ACBF Après la Session ministérielle, le Vice-Premier Ministre s’est entretenu avec Mamadou Biteye, Secrétaire Exécutif de l’ACBF. Leurs échanges ont porté autour du transfert des compétences avec le Secrétariat National pour le Renforcement des Capacités (SENAREC) ou une autre Institution accompagnant le secteur privé, les jeunes et les start-ups. Guylain Nyembo a exprimé, à ce sujet, les besoins d’accompagnement de l’ACBF dans trois domaines : le numérique et la digitalisation de l’administration (pour améliorer l’efficacité de l’administration publique) ; la formation à la préparation de la reconversion des retraités ; le programme LMD (Licence-Master-Doctorat) qui permet d’uniformiser les cycles universitaires et d’organiser la reconnaissance des diplômes entre les pays. L’ACBF dont les objectifs sont centrés sur les jeunes et les femmes, l’analyse des données et la digitalisation des services entend, à cet effet, envoyer à l’étape prochaine une équipe en RDC pour une mission d’identification des besoins dans les trois domaines évoqués par le VPM Guylain Nyembo. Lancement de l’Académie Ubora Guylain Nyembo a enfin pris part, le 11
Coopération bilatérale : Renforcement des interventions suisses…

DÉTAIL ACTUALITÉS Coopération bilatérale : Renforcement des interventions suisses alignées sur les priorités nationales de la RDC ACTUALITES A LA UNE Le Vice-Premier Ministre, Ministre du Plan et de la Coordination de l’Aide au Développement Guylain Nyembo, a reçu le mardi 15 octobre 2024, à son cabinet de travail, l’Ambassadeur de Suisse en République Démocratique du Congo (RDC), Chasper Sarott, accompagné d’une délégation du Bureau de la Coopération Suisse. Cette réunion visait à renforcer l’efficacité de la Coopération suisse en RDC, avec un accent particulier sur l’alignement des interventions suisses sur les priorités nationales telles que définies par le Ministère du Plan et de la Coordination de l’Aide au Développement. « C’était une occasion de présenter les actions menées par la Suisse dans les trois provinces de l’Est de la RDC, tout en recueillant les priorités du Vice-Premier Ministre Guylain Nyembo et de son ministère », a indiqué le diplomate suisse, au sortir de son audience avec le Vice-Premier Ministre. L’urgence de l’aide humanitaire Plusieurs domaines jugés essentiels pour soutenir le processus de développement durable en RDC, en particulier dans les provinces de l’Est gravement affectées par les conflits et les crises humanitaires récurrents, ont été abordés au cours de cette rencontre. « Dans le cadre de notre coopération internationale, nous sommes concentrés sur trois domaines principaux : la gouvernance, la santé et le développement économique. Nous avons également discuté de l’aide humanitaire qui est d’une importance cruciale dans un pays où plus de 5 millions de personnes sont déplacées. Cet aspect revêt une grande importance pour la Suisse », a ajouté Chasper Sarott. Au sujet de l’aide humanitaire identifiée comme une priorité majeure, l’Ambassadeur Sarott a réaffirmé l’engagement de son pays à appuyer les efforts du gouvernement congolais pour répondre à cette situation et apporter une assistance adéquate aux populations touchées. Cette rencontre s’inscrit dans la dynamique de renforcement des relations bilatérales entre la RDC et la Suisse. Les deux parties ont convenu de poursuivre la coopération dans les secteurs prioritaires mentionnés, afin de maximiser l’impact des projets de développement tout en répondant aux besoins urgents des régions les plus vulnérables de la RDC. Cellule de Communication & Médias Partager Récents
Mot du VPM à l’occasion de la Réunion Parallèle au Sommet de…

DÉTAIL ACTUALITÉS MOT DU VPN A L’OCCASION DE LA REUNION PARALLELE AU SOMMET DE L’AVENIR 2024 : FINANCEMENT DURABLE POUR LES GENERATIONS FUTURES ACTUALITES A LA UNE Excellence Monsieur le Ministre des Affaires Étrangères de la République de Zambie ; Excellence Monsieur le Représentant de la République des Seychelles ; Mesdames et Messieurs les Représentants des Organisations internationales ; Distingués participants, J’aimerais avant toute chose exprimer, au nom du Gouvernement de la République Démocratique du Congo, ma sincère gratitude à la République de la Zambie ainsi qu’à la République des Seychelles pour l’organisation de cette importante activité. En effet, la réunion de ce jour ne pouvait mieux tomber, en ce qu’elle vient permettre aux différentes parties prenantes d’échanger sur la question cruciale du financement du développement, particulièrement celui des États les moins nantis et qui font face à de nombreux défis. L’opportunité de cette réunion est d’autant plus affirmée après les différentes déclarations formulées par nos délégations respectives à la tribune des Nations Unies au cours du Sommet de l’Avenir ainsi que lors de cette 79ème session de l’Assemblée générale. Excellences, Mesdames et Messieurs, Point n’est besoin de rappeler la nécessité pour nos gouvernements d’accélérer la mise en œuvre des Objectifs du Développement Durable (ODD) dont la pleine réalisation à l’échéance 2030 se retrouve sérieusement compromise. En effet, malgré les efforts consentis et les performances jusqu’ici réalisées par nos gouvernements, de nombreux défis se dressent face à nous, comme celui de notre capacité singulière et collective à mobiliser suffisamment de ressources pour atteindre les objectifs qui nous ont été assignés. En dépit de notre bonne volonté, et je viens ici faire écho à la déclaration faite hier, par Son Excellence Monsieur Lula Inicio da Silva, Président de la République fédérative du Brésil, qui a souligné l’injustice à laquelle notre continent fait face sur les marchés financiers où, je cite : « les pays africains empruntent à des taux huit fois supérieurs que l’Allemagne ou encore quatre fois supérieurs aux États-Unis d’Amérique » fin de citation. Excellences, Mesdames et Messieurs, Mon propos n’a de raison que dans cette volonté que nous exprimons tous. Celle de voir éclore une réelle équité dans le financement du développement dans les pays les moins avancés qui, comme la République Démocratique du Congo, ne cessent de fournir des efforts pour faire de nos États de réels havres d’opportunité pour les jeunes générations. Pour la République Démocratique du Congo, il est clair que le futur passe par davantage d’investissements dans le capital humain. Ceci, à travers la pérennisation des initiatives et politiques publiques permettant une meilleure captation du dividende démographique, notamment celles portant sur l’amélioration et l’universalisation de l’accès aux services sociaux de base tels que l’éducation, la santé ou encore l’énergie durable. En effet, malgré des performances remarquables observées depuis cinq ans, le gap de financement en République Démocratique du Congo, et ce, nonobstant une plus grande implication du secteur privé, demeure considérable. Cette réalité se retrouve, en outre, exacerbée par la réaffectation quasi-systématique des ressources pour pallier l’urgence sécuritaire imposée depuis plus de deux années par l’agression que subit mon pays dans la partie Est de son territoire. Excellences, Mesdames et Messieurs, Pour mon pays, l’une des clés à l’épineuse question du financement durable pour les générations futures, se trouve tout d’abord dans l’application effective du Programme d’action d’Addis-Abeba ; mais aussi, dans notre capacité à réfléchir à des solutions innovantes de financement. Nous appelons donc à ce que cette réunion puisse constituer une réelle opportunité de discussion et d’échange sur les expériences propres aux différents pays et parties prenantes sur la mise au jour de solutions à la fois durables et globales. Je vous remercie Partager Récents
RDC-Canada : Coopération Bilatérale, le VPM Guylain Nyembo et Maryse Guilbeault consolident la coopération bilatérale

DÉTAIL ACTUALITÉS RDC-CANADA : COOPERATION BILATERALE, LE VPM GUYLAIN NYEMBO ET MARYSE GUILBEAULT CONSOLIDENT LA COOPERATION BILATERALE ACTUALITES A LA UNE Lundi 30 septembre 2024, Maryse Guilbeault, Ambassadrice du Canada en République Démocratique du Congo, a été reçue en audience par le Vice-Premier Ministre, Ministre du Plan et de la Coordination de l’Aide au Développement, Guylain Nyembo. Cette rencontre a permis de faire le point sur la coopération bilatérale entre la RDC et le Canada. Les discussions ont porté sur des questions clés telles que la coordination de l’aide canadienne au développement, la réalisation des objectifs de développement durable, ainsi que les défis communs auxquels les deux pays sont confrontés. Au cours de cet échange, les deux parties ont exprimé leur volonté de consolider les liens de coopération dans divers secteurs, notamment la santé, l’agriculture, la sécurité, l’éducation, etc. Maryse Guilbeault a réaffirmé l’engagement du Canada à collaborer étroitement avec la RDC. « Nous allons continuer à travailler ensemble en tant que partenaires, non seulement dans le développement, mais également dans le commerce, sur un pied d’égalité. Nous cherchons à renforcer les liens entre le commerce et le développement, car ces deux aspects sont indissociables pour la prospérité des Congolais et des Canadiens », a déclaré la diplomate canadienne. Cette rencontre s’inscrit dans un cadre plus large de partenariat entre le Canada et la RDC, visant à soutenir des initiatives en faveur du développement, tout en renforçant les relations économiques entre les deux pays. Cellule de Communication & Médias Partager Récents
Projet INGA 3 : La Banque Mondiale rassure le VPM Guylain Nyembo…

DÉTAIL ACTUALITÉS PROJET INGA 3 : LA BANQUE MONDIALE RASSURE LE VPM GUYLAIN NYEMBO SUR LA MOBILISATION DE PRES D’1 MILLIARD USD POUR LA REALISATION DU MEGA PROJET ACTUALITES A LA UNE Le lundi 30 septembre 2024, le Vice-Premier Ministre, Ministre du Plan et de la Coordination de l’Aide au Développement, Guylain Nyembo, a reçu en audience une délégation de la Banque Mondiale en mission en RDC dans le cadre du Projet Grand INGA en RDC, conduite par Albert Zeufack, Directeur des Opérations de la Banque Mondiale pour la RDC, l’Angola, le Burundi, et Sao Tomé & Principe. Les discussions ont principalement porté sur les étapes futures du Projet INGA 3, un projet clé pour le développement énergétique de la République Démocratique du Congo (RDC). L’accent a été mis sur le développement local dans le Kongo-Central, ainsi que sur les compétences nécessaires pour la réalisation du Barrage. La réforme institutionnelle du secteur de l’énergie en RDC a également été un point central des échanges, la Société Nationale d’Électricité (SNEL) devant jouer un rôle clé en tant que prestataire de services afin d’attirer les investissements privés dans le projet. Le soutien de la Banque Mondiale Albert Zeufack a précisé que le Président de la RDC, Félix Tshisekedi, avait sollicité l’appui de la Banque Mondiale pour structurer ce projet d’envergure. « Le rôle de la Banque Mondiale est de réunir tous les partenaires du développement, de mobiliser le secteur privé ainsi que les branches du Groupe de la Banque Mondiale, comme la SFI et MIGA, pour structurer le financement du barrage INGA 3 », a déclaré Zeufack. Il a également annoncé que la Banque Mondiale travaillait à la mise en place d’un programme multiannuel de près d’un milliard de dollars pour soutenir ce projet, tout en affirmant que les discussions avançaient de manière positive avec les partenaires et les pays intéressés par son financement. Avec une capacité de production de 44 000 mégawatts, le barrage INGA 3 pourrait devenir le plus grand barrage au monde et alimenter une grande partie du continent africain en électricité. Estimée à 14 milliards de dollars, la réalisation de ce projet énergétique représente une initiative majeure pour l’avenir de la RDC et de la région. En plus de stimuler la production d’énergie, INGA 3 pourrait transformer l’économie nationale en attirant des investissements internationaux et en favorisant un développement durable sur le long terme. Cellule de Communication & Médias Partager Récents
PDL 145-T / RDC – PNUD à New York : Achèvement de…

DÉTAIL ACTUALITÉS PDL 145-T / RDC – PNUD à New York : Achèvement de la première étape du PDL-145T et accélération des travaux restants discutés ACTUALITES A LA UNE Le 24 septembre 2024, une réunion de haut niveau s’est tenue à New York entre le Vice-Premier Ministre, Ministre du Plan et de la Coordination de l’Aide au Développement Guylain Nyembo, le Ministre des Finances, Doudou Fwamba Likunde et la directrice du Programme des Nations Unies pour le Développement Ahunna Eziakonwa. Cet échange a porté sur l’état d’avancement du Programme de Développement Local des 145 Territoires (PDL-145T), un programme phare de la République Démocratique du Congo pour améliorer les infrastructures et réduire les inégalités dans les zones rurales. Les discussions ont souligné l’urgence d’accélérer la finalisation des travaux en cours avant la fin de l’année 2024. Le PNUD, en tant qu’une des trois agences d’exécution du programme, a réaffirmé son engagement à soutenir la RDC dans cette phase critique. Les parties ont également discuté du lancement prochain du deuxième volet du programme, axé sur la réhabilitation des routes de desserte agricole, essentiel pour désenclaver les territoires reculés et favoriser le développement économique local. En marge de cette rencontre, les autorités congolaises ont annoncé l’organisation d’une table ronde dédiée aux investissements, avec la participation des bailleurs de fonds et du secteur privé, afin de renforcer les financements nécessaires pour les étapes futures du PDL-145T. Il sied de rappeler que le PDL-145T, une initiative lancée par le Président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo. Il vise à améliorer les conditions de vie dans les 145 territoires du pays à travers la construction et la réhabilitation d’infrastructures essentielles telles que des écoles, des centres de santé et des routes. La coopération avec des partenaires internationaux comme le PNUD s’inscrit dans la volonté de mener à bien cet ambitieux programme de développement. Cellule de Communication & Médias Partager Récents
ALLOCUTION DU VPM AU DIALOGUE INTERACTIF 1 DU SOMMET DE L’AVENIR

DÉTAIL ACTUALITÉS ALLOCUTION DU VPM AU DIALOGUE INTERACTIF 1 DU SOMMET DE L’AVENIR ACTUALITES A LA UNE ALLOCUTION DE SON EXCELLENCE MONSIEUR LE VICE-PREMIER MINISTRE, MINISTRE DU PLAN ET DE LA COORDINATION DE L’AIDE AU DEVELOPPEMENT AU DIALOGUE INTERACTIF 1 DU SOMMET DE L’AVENIR « Sommet de l’Avenir – Session plénière » Monsieur le Président,Excellences Mesdames et Messieurs, La République Démocratique du Congo se réjouit de la tenue de ces importantes assises qui, au vu des évènements récents, des menaces imposées par la persistance de la pauvreté et de la faim, la résurgence et l’apparition des conflits ainsi que la montée des extrémismes dans le monde, sans oublier la question de notre survie collective face au réchauffement climatique, se veulent une éclaircie, mieux une fenêtre d’opportunité pour des lendemains meilleurs. En effet, rien ne laissait présager il y a 78 ans, lors de la naissance de notre chère Organisation, pareil futur, pareil scénario. Un scénario dans lequel la communauté des Nations se verrait remise en cause dans son essence et où les principes sacrosaints d’équité, de solidarité, d’universalité censés consacrer une confiance de tous vis-à-vis de tous ont semble-t- il cessé d’exister, au profit d’une minorité perpétuellement plus forte face à une majorité condamnée à être irrémédiablement plus faible, voire absente à la table des décisions. Monsieur le Président,Le Pacte pour le Futur constitue une formidable occasion, pour l’humanité et les décideurs ici présents, d’embrasser un nouveau paradigme au profit de la jeunesse et des futurs habitants de notre planète. Pour la République Démocratique du Congo, l’Avenir passe par davantage d’investissements dans le capital humain, notamment à travers des investissements massifs dans l’éducation de base, la santé, la poursuite de la mise en œuvre des politiques visant l’autonomisation des femmes et des jeunes filles, l’inclusion des personnes vulnérables en même temps que des investissements dans la recherche et l’innovation technologique. Cependant, le Pacte que nous adopterons à l’issue de ce Sommet demeurera vain si les questions saillantes qui entravent le bon fonctionnement de notre organisation, mais également la rencontre du progrès au sein de nos États respectifs, particulièrement ceux des pays parmi les moins développés, ne trouvent leur résolution. En effet, aucun avenir soit-il ne pourrait être envisagé tant que tout un continent, en l’occurrence l’Afrique, ne sera rétabli dans son honneur, notamment au sein de notre Organisation, à travers l’octroi de deux sièges permanents au sein du Conseil de Sécurité. Dans le même ordre d’idée, aucun avenir radieux soit-il ne pourra être envisagé tant qu’il ne s’observera de réelles solidarités dans le financement des objectifs de développement durable et que sera pris en compte le rôle crucial que pourrait jouer l’intelligence artificielle dans leur réalisation. Aucun futur ne pourra, en outre, être implémenté sans une réelle justice climatique et la poursuite des actions visant une plus grande inclusion des pays issus des grands bassins forestiers mondiaux dans l’accélération de la transition énergétique. Enfin, il ne peut y avoir d’avenir tant que persisteront les bruits des armes et que la communauté des Nations se distinguera par son incapacité à réellement sanctionner les attitudes belliqueuses et contraires à la Charte de notre chère Organisation qui prône l’existence pacifique entre les Nations. Je vous remercie. Partager Récents
Sommet de l’avenir 2024 : Une éclaircie, une fenêtre d’opportunité pour…

DÉTAIL ACTUALITÉS Sommet de l’avenir 2024 : Une éclaircie, une fenêtre d’opportunité pour des lendemains meilleurs ACTUALITES A LA UNE Le Vice-Premier Ministre, Ministre du Plan et de la Coordination de l’Aide au Développement, Guylain Nyembo a, au nom du Président de la République Felix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, prononcé ce 22 septembre à New-York, une importante allocution à l’ouverture du “Sommet de l’avenir” sur les Objectifs du Développement Durable (ODD), qu’organise le Conseil économique et Social des Nations-Unies. Guylain Nyembo s’est réjoui, à cette occasion, de la tenue de ces « importantes assises qui, a-t-il dit, au vu des évènements récents, des menaces imposées par la persistance de la pauvreté et de la faim, la résurgence et l’apparition des conflits ainsi que la montée des extrémismes dans le monde, sans oublier la question de notre survie collective face au réchauffement climatique, se veulent une éclaircie, mieux une fenêtre d’opportunité pour des lendemains meilleurs. » Les dirigeants du monde réunis à New-York vont en effet, à l’issue de ce Sommet, adopter un “Pacte pour l’avenir” qui comprend un Pacte numérique mondial et une Déclaration sur les générations futures. Ce Pacte couvre un large éventail de thèmes, notamment la paix et la sécurité, le développement durable, les changements climatiques, la coopération numérique, les droits humains, l’égalité des sexes, la jeunesse et les générations futures, ainsi que la transformation de la gouvernance mondiale. « Un nouveau paradigme pour la jeunesse et les futurs habitants de la planète » Pour le Vice-Premier Ministre de la République Démocratique du Congo (RDC), ce « Pacte pour l’avenir » constitue une formidable occasion pour l’Humanité et les décideurs, d’embrasser un “nouveau paradigme” au profit de la jeunesse et des futurs habitants de la planète. Ce paradigme que« nous voulons plus juste et plus équitable doit notamment se distinguer par la promotion du principe d’inclusivité aussi bien entre les Etats qu’au sein de ceux-ci, la poursuite de la mise en œuvre de l’Agenda 2030 pour le développement durable et faire la part belle aux actions innovantes à travers la promotion de la science au profit de la sauvegarde de notre bien commun à tous… », a indiqué Guylain Nyembo. Il a, de ce fait, attiré l’attention des dirigeants du monde présents à ce Sommet, pour que ce “Pacte” ne soit pas un slogan creux. « Le Pacte que nous adopterons à l’issue de ce Sommet demeurera vain si les questions saillantes qui entravent le bon fonctionnement de notre Organisation [ONU] mais également la rencontre du progrès au sein de nos États respectifs, particulièrement ceux des pays parmi les moins développés, ne trouvent leur résolution », a-t-il prévenu. Aucun avenir ne sera possible si… Guylain Nyembo a cité une série de choses à éviter pour que ce Pacte ne soit pas vain : « Aucun avenir ne pourrait être envisagé tant que tout un continent [Afrique] ne sera rétabli dans son honneur…, à travers l’octroi de deux sièges permanents au sein du Conseil de Sécurité [de l’ONU] ; Aucun avenir radieux ne pourra être envisagé tant qu’il ne s’observera de réelles solidarités dans les financements des objectifs de développement durable et que ne sera pris en compte le rôle crucial que pourrait jouer l’intelligence artificielle dans leur réalisation ; Aucun futur ne pourra être implémenté sans une réelle justice et la poursuite des actions visant une plus grande inclusion des pays issus des grands bassins forestiers mondiaux dans l’accélération de la transition énergétique ; Enfin, il ne peut y avoir d’avenir tant que persistent les bruits des armes et que la communauté des Nations se distinguera par son incapacité à réellement sanctionner les attitudes belliqueuses et contraires à la Charte de notre Organisation qui prône l’existence pacifique entre les Nations. » Le Vice-Premier Ministre a fait observer que du point de vue de la RDC, l’Avenir passe par davantage d’investissements dans le capital humain, notamment à travers des investissements massifs dans l’éducation de base, la poursuite de la mise en œuvre des politiques visant l’autonomisation des femmes et des jeunes filles, l’inclusion des personnes vulnérables en même temps que des investissements dans la recherche et l’innovation technologique. Notons que la République Démocratique du Congo (RDC) va présenter, lors de ce Sommet, sa Feuille de route d’accélération des ODD, dont le programme arrive à échéance en 2030. Et en marge du Sommet, Guylain Nyembo prendra part à deux forums parallèles ainsi qu’à diverses réunions bilatérales et multilatérales. Cellule de communication et médias Partager Récents