Remise officielle du centre de santé de Mbiza

DÉTAIL ACTUALITÉS Remise officielle du centre de santé de Mbiza ACTUALITES A LA UNE Dans le cadre de la supervision du Programme de Développement Local des 145 Territoires (PDL-145T), le Vice-Premier Ministre, Ministre du Plan & CAD , accompagné de la Sous-Secrétaire Générale des Nations-Unies et Administratrice Adjointe du PNUD pour l’Afrique, et du Représentant Résident du PNUD en RDC, a procédé ce vendredi 13 décembre à l’inauguration et la remise officielle du Centre de santé de Mbiza, situé dans le territoire de Kabare, dans la province du Sud-Kivu. Cet événement solennel qui s’est déroulé en présence de plusieurs centaines d’habitants de Kabare, a réuni plusieurs personnalités, notamment le Gouverneur du Sud-Kivu , Jean-Jacques Purusi, les représentants des partenaires techniques et financiers tels que le PNUD et le FMI, ainsi que diverses parties prenantes. L’inauguration de ce centre de santé marque un jalon important dans la mise en œuvre de la vision du Président Félix Tshisekedi, visant à améliorer durablement les conditions de vie des Congolais. Le Vice-Premier Ministre Guylain Nyembo a exprimé toute sa satisfaction : « Je suis heureux de revenir ici, au Sud-Kivu, pour concrétiser la promesse du Président de la République. Aujourd’hui, cette parole donnée devient réalité, pour le bien des enfants de Kabare. Pour nous, en tant que gouvernement, c’est une grande avancée. » Pour Ahunna Eziakonwa, l’inauguration de ce centre revêt une dimension historique : « C’est pour moi un rêve réalisé. Être ici parmi vous pour concrétiser cette vision portée par le Chef de l’État, qui a voulu que personne ne soit laissé pour compte, est une immense fierté. Le PNUD est honoré d’avoir accompagné le gouvernement dans cette initiative. » Elle a également salué le fort engagement du Vice-Premier Ministre Guylain Nyembo, dont le leadership a été déterminant pour surmonter les défis liés à ce projet. Ce moment fort illustre une fois de plus l’engagement du gouvernement congolais à accélérer le développement des territoires les plus reculés, à travers la réalisation d’infrastructures essentielles au bien-être des populations. Le PDL-145T continue de se déployer comme un instrument clé de transformation sociale et économique en RDC. Partager Récents
Guylain Nyembo et Ahunna Eziakonwa en mission de supervision du PDL-145 T…

DÉTAIL ACTUALITÉS Guylain Nyembo et Ahunna Eziakonwa en mission de supervision du PDL-145 T dans le Sud-Kivu ACTUALITES A LA UNE Le Vice-Premier Ministre et Ministre du Plan & CAD est arrivé ce vendredi 13 décembre 2024 à Bukavu, dans la province du Sud-Kivu, en mission d’accompagnement de la Sous-Secrétaire Générale des Nations-Unies et Administratrice Adjointe du PNUD en charge de l’Afrique, Ahunna Eziakonwa, qui est en mission officielle en RDC. La délégation qui comprend également le Représentant Résidant du PNUD en RDC, effectue une mission de terrain dans le cadre de la supervision du Programme de Développement Local des 145 Territoires (PDL-145 T). L’équipe conjointe va se rendre dans les territoires de Kabare et d’Idjwi (ile) pour procéder à la remise du centre de santé Mbiza et faire la visite de l’école primaire Mbiza (Kabare) et du bâtiment administratif (Idwji). Cette mission va également permettre à la délégation de se rendre compte des défis et succès du PDL-145T, une initiative du Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, qui vise à favoriser le développement socio-économique des zones rurales et à aligner la RDC sur les Objectifs de Développement Durable (ODD). Partager Récents
Kalemie : le PDL-145 T au centre de la 11ème Conférence des…

DÉTAIL ACTUALITÉS Kalemie : le PDL-145 T au centre de la 11ème Conférence des Gouverneurs des provinces ACTUALITES A LA UNE Le Vice-Premier Ministre, Ministre du Plan et de la Coordination de l’Aide au Développement, Guylain Nyembo a fait une présentation sur l’état d’avancement du Programme de Développement des 145 Territoires (PDL-145T), ce jeudi 28 novembre 2024, à la tribune de la 11ème Conférence des Gouverneurs des provinces qui se tient à Kalemie, chef-lieu de la province du Tanganyika (Sud-est de la RD Congo). Retenue comme sous-thème de ces assises présidées par le Président de la République, Felix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, cette présentation cadre avec le thème principal de la Conférence, à savoir : « Renforcer la gouvernance des provinces afin d’assurer la cohésion communautaire, facteur clé de la réussite du PDL-145T. » Dans son intervention, Guylain Nyembo a rappelé que le Gouvernement a, jusque-là, démarré deux volets de la première composante de ce programme, à savoir : le lancement des travaux de construction et équipement de 1.198 écoles, 788 centres de santé et 145 bâtiments administratifs ; et le financement des études relatives à la réhabilitation de 40.479 Kilomètres des routes de desserte agricole. Volet 1 : 44% de taux d’achèvement Selon les chiffres avancés par le Vice-Premier Ministre, l’état d’avancement physique du volet 1 du programme qui vise à améliorer l’accès des populations des territoires ruraux aux infrastructures et services socioéconomiques de base indique que 518 écoles ont déjà été achevées (dont 418 livrées), 276 centres de santé achevés (dont 181 livrés) et 59 bâtiments administratifs achevés (dont 35 livrés), jusque fin octobre 2024. Soit un taux d’achèvement de 44%. Le taux d’ouvrages livrés (634) se situe, lui, à 32% à la même date. En ce qui concerne l’état de financement du programme, Guylain Nyembo a fait observer que le coût initial du PDL-145T qui avait été évalué à 1.660.101.312 USD, est passé à 2,138 milliards USD, suite au changement de nature des travaux pour certains ouvrages et à certaines contraintes de mise en œuvre. « Le premier volet démarré, financé par la quotité des ressources tirées des Droits de Tirages Spéciaux (DTS) du FMI, évalué initialement à 511 millions USD est passé à 623 millions USD après les procédures de passation des marchés, créant un gap de 112 millions USD pour boucler les travaux de construction des écoles, des centres de santé et bâtiments administratifs des territoires », a ajouté le VPM. Pour y remédier, un plan de mobilisation et décaissement du gap a été élaboré par le Ministère du Plan et de la Coordination de l’Aide au Développement et présenté en Conseil des Ministres qui l’a adopté. « Le Ministère des Finances a, conformément à ce plan, décaissé au mois d’octobre 2024, la somme de 59.729.397,42 USD, soit 52,6% du gap, au profit des Agences d’exécution. Le solde d’un montant de 52,27 millions USD sera décaissé respectivement à hauteur de 50% au cours des mois de novembre et décembre 2024 », a-t-il rassuré. Des contraintes majeures Guylain Nyembo a enchainé sur les contraintes majeures qui retardent la mise en œuvre du PDL-145T, le plus grand défi étant le financement du programme. Il a cité les difficultés d’accès aux sites par manque d’infrastructures, la contrainte du respect des délais règlementaires et des procédures d’approbations des marchés, la guerre d’agression du pays par le Rwanda à l’Est et la persistance des conflits intercommunautaires dans certains territoires (Nord-Kivu, Ituri, Mai-Ndombe), le manque des ressources pour la communication et la faible capacité managériale de certains prestataires. Pour la poursuite de cet ambitieux programme qui découle de la vision du Président de la République pour un Etat équitable et solidaire, Guylain Nyembo a rassuré son auditoire. « Le Gouvernement s’emploiera à accélérer la mise en œuvre du PDL-145T, afin de garantir la livraison des ouvrages au bénéfice des territoires et de nos populations », a-t-il déclaré en substance. Deux actions seront menées à cet effet : le décaissement des ressources pour le démarrage des autres volets du programme notamment ceux relatifs à la construction des infrastructures énergétiques rurales (eau et électricité) ; et la mobilisation des ressources pour le lancement de toutes les autres composantes du PDL-145T pour un meilleur impact sur la population bénéficiaire. Le VPM a annoncé, à l’occasion, l’organisation prochaine d’une revue du Programme pour remédier aux imperfections constatées et proposer les solutions y afférentes, notamment en ce qui concerne le financement du programme, la passation des marchés, la sélection des prestataires, la lenteur des travaux, la défaillance de certains prestataires, l’implication des communautés locales, l’implication des dirigeants provinciaux et des élus du peuple, le système d’information et le suivi-évaluation. Réfléchir sur les mécanismes de financement Guylain Nyembo a, en outre, salué la récente décision de l’Assemblée nationale de constituer une commission ad hoc sur le PDL-145T. « Lors de mon passage, le 12 novembre courant, devant l’Assemblée Nationale, l’autorité budgétaire a décidé de mettre en place une commission qui suivra étroitement la budgétisation et la mise en œuvre de ce programme. Ce qui est louable, car il faut passer à la mise en œuvre concomitante de toutes les composantes de ce programme pour mieux impacter ses bénéficiaires directs », s’est-il réjoui. La mise en œuvre du premier volet de la première édition du PDL-145T « démontre à suffisance la capacité de relever concomitamment le défit du développement sur toute l’étendue de notre pays », a, enfin, fait observer le Vice-Premier Ministre. D’où, son appel lancinant pour une mobilisation collective du pays dans son ensemble autour de ce programme : « Il est temps pour nous tous, dit-il, de réfléchir sur les mécanismes de financement du programme qui suscite tant espoir dans le chef de nos populations et [qui] boostera significativement le développement de nos Provinces. » Cellule de Communication et médias Partager Récents
Relance des Groupes Thématiques Sectoriels : une étape clé pour la mise…

DÉTAIL ACTUALITÉS Relance des Groupes Thématiques Sectoriels : une étape clé pour la mise en œuvre du PNSD 2024-2028 ACTUALITES A LA UNE Le Vice-Premier Ministre, Ministre du Plan et de la Coordination de l’Aide au Développement, Guylain Nyembo, a présidé le jeudi 21 novembre 2024 la première réunion du Comité de pilotage des Groupes Thématiques Sectoriels (GTS) du Gouvernement Judith Suminwa. Cette rencontre stratégique, organisée en vidéoconférence, a rassemblé les Ministres présidents des GTS ainsi que leurs secrétariats techniques pour une session déterminante axée sur la relance des activités des GTS. Au cœur des discussions figurait l’organisation et le fonctionnement des GTS, la clarification des responsabilités des parties prenantes et l’adoption d’une feuille de route pour renforcer leur efficacité. Ces groupes, essentiels pour la planification et le suivi des politiques publiques, jouent un rôle clé dans l’harmonisation des efforts entre le Gouvernement et ses Partenaires Techniques et Financiers (PTF). Le Vice-Premier Ministre Guylain Nyembo a souligné l’importance de la relance des activités des GTS dans son mot d’ouverture : « La réunion de ce jour est d’une grande importance parce qu’elle consacre la relance des travaux des Groupes Thématiques Sectoriels pour une mise en œuvre concertée du Plan National Stratégique de Développement 2024-2028, auquel s’est adossé le Programme du Gouvernement. » Fruit de l’engagement envers les accords internationaux Formellement institués par le Décret n° 13/011 du 9 avril 2013, les GTS sont le fruit de l’engagement de la République Démocratique du Congo (RDC) envers les accords internationaux sur l’efficacité de l’aide au développement, tels que la Déclaration de Paris, l’Agenda d’Accra, l’Agenda de Kinshasa et le Partenariat de Busan. Ces mécanismes visent à maximiser l’impact des politiques de développement tout en favorisant une meilleure coordination des ressources. Les Groupes Thématiques Sectoriels ont pour missions principales de : encourager un dialogue structuré entre le Gouvernement et ses partenaires afin d’harmoniser les approches dans l’élaboration, la mise en œuvre et le suivi-évaluation des politiques publiques ; mobiliser des ressources financières et techniques, tout en assurant leur alignement sur les priorités nationales. Cette relance intervient à un moment critique pour la mise en œuvre du Plan National Stratégique de Développement (PNSD) 2024-2028, pilier central du programme gouvernemental. En redynamisant les GTS, le gouvernement entend poser les bases d’une coordination renforcée avec ses partenaires afin de garantir le succès des initiatives de développement. Renforcer la confiance avec les PTF La feuille de route adoptée lors de cette réunion marque une volonté claire du gouvernement de réactiver les mécanismes de concertation et de suivi. Ce cadre permettra également de renforcer la confiance entre les parties prenantes, condition indispensable pour mobiliser davantage de ressources et maximiser l’impact des politiques publiques. Avec cette relance des GTS, la RDC réaffirme son engagement en faveur d’un développement inclusif et durable, porté par une gouvernance transparente et concertée. Cellule de Communication & Médias Partager Récents
PDL-145T : “Aller sur le terrain pour voir la réalité, rassurer…

DÉTAIL ACTUALITÉS PDL-145T : “Aller sur le terrain pour voir la réalité, rassurer les populations et s’assurer que le programme se réalise comme prévu”, Guylain Nyembo ACTUALITES A LA UNE Le Vice-Premier Ministre, Ministre du Plan et de la Coordination de l’Aide au développement, Guylain Nyembo a déclaré, jeudi 6 novembre à la presse à son arrivée dans l’après-midi à Bukavu, qu’il entame [ce jour] une série de descentes sur le terrain pour “aller voir la réalité, mais aussi pour analyser les feedbacks reçus des députés afin de mettre tout le monde ensemble” concernant le Programme de Développement Local des 145 Territoires (PDL-145T), programme pensé et initié par le Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo. “Vous savez que nous venons d’arriver aux affaires. Nous avons pris le temps de faire un état des lieux. Après quelques discussions avec quelques députés, avec les orientations de Mme la Première Ministre-Cheffe du Gouvernement, il est question maintenant que nous puissions nous assurer que ce programme rassure les populations, rassure les députés et que nous allons le réaliser tel qu’il a été arrêté dès le départ“, a expliqué Guylain Nyembo, aux médias locaux. Pensée de paix totale pour l’Est Accueilli au port de Bukavu par les autorités provinciales du Sud-Kivu, avec à leur tête le Gouverneur Jean-Jacques Purusi, le VPM a également adressé un message de solidarité aux populations de l’Est. “Cette partie du pays nous préoccupe au plus haut point à Kinshasa. Et à chaque fois que nous nous retrouvons à l’Est, nous avons une pensée très particulière à cette population et le Président de la République fait tout ce qu’il y a dans son pouvoir, avec Mme la Première Ministre, pour que l’Est puisse recouvrer la paix totale, et qu’ensemble nous puissions continuer le chemin de développement de notre pays.” Pour rappel, le VPM Guylain Nyembo est arrivé à Bukavu accompagné du Représentant Résident du PNUD en RDC, Damien Mama, pour une mission conjointe destinée à la supervision de sites et à la remise de certaines infrastructures (écoles, centres de santé et bâtiments administratifs) construites dans le cadre du PDL-145T. Dans le Sud-Kivu, ils se rendent le jeudi 7 novembre dans le territoire de Walungu, avant de poursuivre la mission à Kalemie et Kongolo, dans la province du Tanganyika. Cellule de communication et médias Partager Récents
PDL-145T : Sessions d’information avec les députés nationaux des provinces…

DÉTAIL ACTUALITÉS PDL-145T Sessions d’information avec les députés nationaux des provinces de la TSHOPO et du MAI-NDOMBE pour relancer les travaux ACTUALITES A LA UNE Le Vice-Premier Ministre et Ministre du Plan et de la Coordination de l’Aide au Développement, Guylain NYEMBO, a présidé les 4 et 5 novembre 2024 deux sessions spéciales d’information sur le Programme de Développement Local des 145 Territoires (PDL-145T), ciblant les provinces de la TSHOPO et du MAI-NDOMBE. Cette initiative vise à renforcer la transparence et à favoriser une meilleure compréhension du programme par les députés nationaux de ces régions. Des sessions pour clarifier l’avancement et les enjeux du PDL-145T Ces sessions se sont tenues au sein du Ministère du Plan et de la Coordination de l’Aide au Développement et ont regroupé les députés des sept territoires de la TSHOPO, coordonnée par le PNUD, et des huit territoires de MAI-NDOMBE, sous la supervision de la CFEF. L’objectif était de dresser un état des lieux des avancées et de mieux cerner les défis entravant la réalisation du programme, qui présente actuellement des retards dans ces deux provinces. Lors de la rencontre, le député Castro BAMBOKA, élu de la province du MAI-NDOMBE, a exprimé la volonté des parlementaires de participer activement aux solutions : « Nous avons été conviés par le VPM pour discuter du PDL-145T dans le MAI-NDOMBE. Après nos échanges avec l’agence d’exécution (CFEF), plusieurs observations sont apparues, ce qui nous permet de chercher des solutions concrètes au lieu de simplement adopter les résolutions de l’Agence. » Justin BENDESANA, président du caucus des députés nationaux de la TSHOPO, a quant à lui souligné les retards dans les infrastructures de base prévues par le programme, notamment les écoles, les centres de santé et les bâtiments administratifs. Cependant, il a exprimé une note d’optimisme : « Aujourd’hui, nous avons mieux compris les contraintes qui ont freiné le programme, et les perspectives sont désormais encourageantes pour voir de réelles avancées. » Vers une collaboration renforcée entre les parties prenantes Ces échanges ont également impliqué le Comité Technique de Suivi du Programme (CTSP), des représentants du PNUD, de la CFEF et des experts du Ministère du Plan. Ils visent à combler le manque de communication autour du PDL-145T et à solidifier le soutien des députés nationaux. En renforçant ce dialogue, le gouvernement souhaite s’assurer de l’adhésion active des élus nationaux, un élément clé pour le succès de ce programme prioritaire, initié par le Président Félix-Antoine TSHISEKEDI. Ces sessions marquent ainsi une étape décisive pour dynamiser l’avancement du PDL-145T et assurer le soutien continu des parties prenantes à travers le dialogue et la transparence. Cellule de Communication & Médias Partager Récents
Investir en RDC : Vers un climat des affaires plus attractif grâce au…

DÉTAIL ACTUALITÉS Investir en RDC Vers un climat des affaires plus attractif grâce au dialogue ACTUALITES A LA UNE Le Vice-Premier Ministre et Ministre du Plan et de la Coordination de l’Aide au Développement, Guylain NYEMBO, a présidé le 05 novembre une réunion de haut niveau avec un groupe d’ambassadeurs pour discuter de l’amélioration du Climat des Affaires en République Démocratique du Congo (RDC). Cet échange, qui a rassemblé une vingtaine de diplomates, a également réuni le Coordonnateur de la Cellule Climat des affaires de la Présidence, le Directeur Général intérimaire de l’ANAPI, et des représentants de la Banque mondiale. Les discussions ont porté sur les efforts entrepris par le gouvernement pour créer un environnement favorable aux investissements en élargissant le dialogue public-privé. Cette démarche vise à attirer davantage d’investissements privés, moteurs essentiels pour le développement économique de la RDC. Guylain NYEMBO a invité les Ambassades qui ont contribué à la Feuille de route en amont, à devenir les acteurs de la promotion d’une meilleure image de la RDC dans leurs pays respectifs, en aval. La Chargée d’Affaires de l’Ambassade des Pays-Bas, Jennifer Imperator, a salué les efforts du gouvernement, déclarant : « Ces initiatives sont encourageantes. Nous félicitons le gouvernement pour les progrès réalisés. La Feuille de route est un atout que nous pourrons promouvoir auprès de nos entrepreneurs et gouvernements. La RDC peut compter sur nous. » Cette réunion marque un pas important vers un environnement des affaires plus attractif, encourageant les synergies internationales pour soutenir la croissance économique de la RDC. Cellule de Communication et Médias Partager Récents
Assises de Lubumbashi : le discours majeur du VPM Guylain Nyembo sur…

DÉTAIL ACTUALITÉS ASSISES DE LUBUMBASHI : LE DISCOURS MAJEUR DU VPM GUYLAIN NYEMBO SUR L’AMÉLIORATION DU CLIMAT DES AFFAIRES EN RDC ACTUALITES A LA UNE Lubumbashi, chef-lieu de la province du Haut-Katanga, a abrité du 28 au 31 octobre 2024, la deuxième édition des Assises nationales du climat des affaires et la deuxième Session du Dialogue Public-Privé. Des assises importantes pour le futur du développement de la République Démocratique du Congo (RDC), marquées à l’ouverture par un discours majeur et interpellateur du Vice-Premier Ministre, Ministre du Plan et de la Coordination de l’Aide au Développement, Guylain Nyembo qui a patronné ce forum. En des termes forts et très engageants, le Vice-Premier Ministre a, en effet, voulu secouer la conscience collective de toute la Republique. La République Démocratique du Congo, dit-il, du fait de sa position stratégique au cœur de l’Afrique, avec son impressionnant potentiel diversifié notamment en ressources humaines, du sol et du sous-sol, forestier et hydraulique, “a une vocation naturelle à être une terre fertile d’investissement, une destination aux portillons desquels devraient se bousculer les investisseurs du monde entier.“ “Hélas !”, enchaîne-t-il, devant un auditoire composé des membres du Gouvernement central (dont le Vice-Premier Ministre de l’Intérieur, Sécurité, Décentralisation et Affaires coutumières), des Gouverneurs de provinces et leurs ministres sectoriels, des députés provinciaux, des agents et cadres de différentes administrations publiques concernées par la question du climat des affaires (régies financières et autres), et des acteurs du secteur privé (pour rendre effectif le dialogue public privé). Assainir l’environnement des affaires Hélas, en effet, parce que “plusieurs décennies après son accession à l’indépendance, telle n’est pas la réalité vécue.” Le constat établi à ce sujet par Guylain Nyembo donne presque à pleurer, si pas à révolter les bonnes consciences. “Les investisseurs, pourtant séduits par les nombreuses opportunités d’affaires qu’offre notre pays, préfèrent d’autres destinations, soit dans les pays voisins, soit loin de notre pays“, note-t-il dans son discours, déterminé à provoquer un électrochoc dans le subconscient et la conscience collective de tout Congolais soucieux du développement du pays et du bien-être de ses populations. “Cette situation est une cause de grave inquiétude pour la Nation. Et il est temps d’agir avec plus de responsabilité, d’efficacité et de détermination pour redorer l’image écornée de notre pays, en suivant la voie tracée par le Président de la République“, martèle avec fermeté le Vice-Premier Ministre. Il plaide alors pour que l’assainissement de l’environnement des affaires devienne un processus permanent et dynamique en RDC, dans l’objectif d’attirer et de pérenniser les investissements tant publics que privés. Car, ce processus permet, dit-il, de construire de manière structurelle, la sécurité juridique et judiciaire ainsi que les autres agrégats qui influencent la décision de tout investisseur sérieux d’aller s’installer dans un pays. “La quête permanente de croissance économique et du développement devrait inciter les pouvoirs publics, à tous les niveaux, du sommet à la base, à faire de l’attraction des investissements privés une priorité“, insiste Guylain Nyembo. Efficacité, rationalité, efficience et pragmatisme Pour lui, les Assises nationales sur le climat des affaires et le Dialogue public privé de 2024 à Lubumbashi, à la différence de celles de 2020, sont celles de l’efficacité, de la rationalité, de l’efficience et du pragmatisme. Car, en plus d’avoir convié des Gouverneurs de 26 provinces de la République et leurs ministres sectoriels, près d’une dizaine de membres du Gouvernement central et de hauts cadres des Institutions et services publics concernés par la problématique, ces assises se sont déroulées dans un contexte où la compétition entre pays en matière d’attraction des investissements, alimentée par les agences internationales de notation, “devient de plus en plus rude.” Ni complaisant ni pleurnichard, le Vice-Premier Ministre est resté ferme et sincère envers son pays. “Ce que nous disons de nous-mêmes ne suffit pas à séduire ceux qui nous regardent et nous entendent de près ou de loin”, dit-il, renvoyant son auditoire aux rapports rigoureux des agences de notation. “Hier et aujourd’hui encore, les investisseurs demeurent attentifs et sensibles à ce qu’ont rapporté sur nous les notations de Doing Business de la Banque Mondiale [devenu B-Ready], les notations de Moody’s, de Standard & Poor’s, de Bloomfield…” A titre d’exemple, sans préjudice des améliorations des scores réalisées ces trois dernières années dans différentes notations, Guylain Nyembo cite une récente enquête de l’équipe B-Ready. Cette enquête indique qu’il faut 86 jours pour créer une SARL à Kisangani (Province de la Tshopo) moyennant 1951 USD, alors que la réforme mise en place par le Gouvernement fixe 3 jours pour créer une entreprise, moyennant 120 USD. “Cette situation est inadmissible et la réponse ne devrait plus se faire attendre “, martèle le Vice-Premier Ministre. “Donner des ailes à l’impulsion du Président” Il rappelle, à cet effet, l’engagement du Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, pour un environnement propice à l’émergence des investissements étrangers, mais aussi et surtout de la classe moyenne congolaise. “Au seuil de ce deuxième quinquennat, dès la deuxième réunion du Conseil des ministres le 21 juin 2024, il est revenu à la charge en instruisant tous les services concernés par la question du climat des affaires d’identifier, dans les plus brefs délais, les actions prioritaires à exécuter, en attendant le développement d’un Plan Stratégique Pluriannuel.” Il appartient aux acteurs opérationnels de donner des ailes à cette impulsion du Président de la République, en s’appropriant les différentes instructions qu’il faut mettre en œuvre “avec la plus grande diligence“, insiste à ce propos le Vice-Premier Ministre. Il appelle tous les acteurs à agir ensemble pour offrir à la République ce dont elle a le plus besoin, à savoir la création de meilleures conditions pour espérer voir l’afflux des investissements directs étrangers et nationaux en RDC. Guylain Nyembo rassure qu’au niveau du Gouvernement, tout est mis en œuvre pour que soient davantage intensifiés les efforts d’amélioration du climat des affaires, “avec efficacité, rationalité, efficience et pragmatisme.” Il exprime aussi sa satisfaction de voir que le projet de la Feuille de route des réformes gouvernementales, après son évaluation lors
RDC – PDL-145T : Pari gagné avec les caucus des députés des…

DÉTAIL ACTUALITÉS RDC – PDL-145T : Pari gagné avec les caucus des députés des provinces sous gestion de la CFEF ACTUALITES A LA UNE La première journée d’information initiée par le Ministère du Plan et de la Coordination de l’Aide au Développement sur l’état d’avancement du Programme de Développement Local des 145 Territoires (PDL-145T), organisée à l’intention des caucus des députés nationaux de sept provinces englobant 43 territoires, a récolté un franc succès, le mardi 22 octobre 2024, au chapiteau de l’hôtel Pullman de Kinshasa. La rencontre s’annonçait en effet houleuse, au regard de nombreuses critiques régulièrement formulées à l’encontre du PDL-145T. Lors des travaux de différentes réunions du Comité Opérationnel National (CONA) du PDL-145T auxquelles les Ministres sectoriels concernés ont pris part, un constat avait en effet été fait : la plupart de critiques sont généralement nées du fait d’un déficit de communication sur cet important programme de développement socio-économique du pays à la base. Le Vice-Premier Ministre, Ministre du Plan et de la Coordination de l’Aide au Développement, Guylain Nyembo, en phase avec les trois agences d’exécution du PDL-145T (CFEF, PNUD, BCeCO), ne se sont de ce fait trompés ni de cible, ni d’objectif en initiant cette série de journées d’information, en commençant avec les caucus des députés nationaux. « Pour un Programme aussi important, il était nécessaire de faire le point avec les députés pour qu’ils soient bien informés, et qu’ils aient des réponses à donner aux populations qu’ils représentent », a expliqué Guylain Nyembo, satisfait du déroulement de cette première journée d’information. Cette session a réuni une quarantaine de députés nationaux des provinces de l’Equateur, du Nord-Ubangi, du Sud-Ubangi, du Kwilu, du Kwango, du Mai-Ndombe et du Kongo-Central, où le PDL-145T est mis en œuvre par la Cellule d’Exécution des Financements des Etats Fragiles (CFEF). Son Coordonnateur, Alain Lungungu Kisoso, a brossé à l’occasion un tableau complet sur l’état d’avancement des travaux de construction des écoles, centres de santé et bâtiments administratifs dans les sept provinces, ouvrages prévus dans le Volet 1 du programme. « Il était important que nous leur donnions l’information que les travaux n’avancent peut-être pas à la vitesse souhaitée. Mais que nous sommes à un taux d’exécution physique de près de 80%, et à un taux d’achèvement et de livraison des ouvrages de plus de 50% [en moyenne] », a-t-il assuré. Les critiques révèlent l’importance du Programme Les caucus des députés ont réagi diversement à cet état des lieux : certains étaient satisfaits et ont applaudi des deux mains pour les ouvrages construits dans leurs territoires ; d’autres ont contesté l’état de réalisation des ouvrages dans leurs contrées ; d’autres encore ont fait des suggestions, des recommandations… Mais, beaucoup ont salué l’initiative du président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi qui a eu l’ingénieuse idée de reconstruire le pays à partir de la base, ce qui n’a jamais été fait depuis l’époque postcoloniale. Des réactions qui dans l’ensemble ont réjoui le Vice-Premier Ministre. « J’estime normal que les gens ne puissent pas être contents parce que le travail n’est pas bien fait ; ou qu’ils soient contents parce que c’est bien fait dans leurs coins. Pour moi, cela révèle l’importance du projet », a-t-il dit, convaincu du rôle qui est le sien dans la mise en œuvre et le succès du PDL-145T.« Il n’y a pas eu que des critiques, fait-il d’ailleurs observer avec dextérité. Il y a eu des suggestions, des recommandations, plus d’ailleurs, que nous avons retenues. Et nous avons promis de répondre mot à mot aux questions posées pour avoir de vraies réponses. Et comme j’ai dit, s’ils ne sont pas satisfaits, je ferai toujours l’effort d’aller jusqu’au bout parce que ce programme est important pour nous. » Pour Guylain Nyembo, il n’est point question de politiser les choses. « C’est une séance normale qui est pour nous très transparente, avec une demande qui avait été formulée au niveau du président de l’Assemblée Nationale qui avait répondu positivement. Nous voulons vraiment travailler sérieusement pour que ce programme puisse répondre aux attentes de nos populations qui sont souvent délaissées, a-t-il répété. Et cela a été souligné [par de nombreux députés], c’est la première fois pour un gouvernement central de faire quelque chose pour nos contrées les plus reculées. » Oreille attentive des députés Le Coordonnateur de CFEF a, lui aussi, salué l’entière implication des députés dans cette démarche. « Ils ont eu une oreille attentive. Ils ont fait des recommandations qui vont nous permettre d’améliorer la mise en œuvre et l’exécution du PDL-145T. Ça nous a permis d’aplanir les divergences et nous pouvons maintenant baliser l’avenir. Et le principal élément que nous avons mis sur la table pour la prochaine étape, ce sont les infrastructures routières en amont, qui vont faciliter la circulation des personnes, des biens et des services et faciliter la mise en œuvre du programme. » Président du caucus des députés du Kongo-Central, Pierre Nsumbu a qualifié de « productive » cette première expérience d’échange d’information sur le PDL-145T. « Elle nous a permis de mieux comprendre, et on s’est mis d’accord sur les points forts et les points faibles », a-t-il déclaré, rassuré par l’engagement du Vice-Premier Ministre de « tout faire pour que partout où il y a des faiblesses, que cela soit corrigé et que le volet 1 aille jusqu’à son terme. » « Nous sommes contents de voir que cette session d’information a permis à ce que nous puissions avoir des points communs. Maintenant, nous sommes confiants vis-à-vis du Vice-Premier Ministre », a indiqué Donatien Bitini Talabau, député du territoire de Bulungu, province du Kwilu. Il a bien saisi l’appel de Guylain Nyembo au sujet de la collaboration entre le Gouvernement et l’Assemble Nationale pour la réussite du PDL-145T : « En tant qu’élus du peuple, nous sommes l’autorité budgétaire du pays. Le ministère attend beaucoup de nous parce que nous allons commencer à préparer la loi des finances 2025. Nous devons travailler pour doter ce programme des moyens suffisants pour son exécution.
RDC – PLAN et CAD : Le VPM Guylain NYEMBO dévoile le…

DÉTAIL ACTUALITÉS RDC – PLAN et CAD : Le VPM Guylain NYEMBO dévoile le rapport annuel 2023 sur les interventions des ONG et EUP en RDC, saluant leur rôle clé dans le développement national ACTUALITES A LA UNE Le 22 octobre 2024, le Vice-Premier Ministre, Ministre du Plan et de la Coordination de l’Aide au Développement Guylain NYEMBO a présidé la cérémonie de vernissage du rapport annuel 2023, sur les interventions des Associations Sans But Lucratif (ASBL) et des Établissements d’Utilité Publique (EUP) pour l’exercice 2023. Ce rapport stratégique évalue les réalisations des ONG, les défis auxquels elles font face et propose des recommandations pour améliorer la collaboration entre les organisations de la société civile et l’État congolais. La présentation du rapport intervient dans un contexte où le rôle croissant des Organisations Non Gouvernementales (ONG) dans le développement social, économique et environnemental est de plus en plus reconnu. Ces entités jouent un rôle essentiel dans l’exécution de programmes humanitaires, de développement durable et de plaidoyer pour les droits humains et la paix. Un bilan entre réussites et défis sur le terrain Le rapport annuel 2023 offre un panorama complet des actions des ONG à travers la RDC. Il met en avant leurs succès notables dans plusieurs secteurs, notamment la santé, l’éducation et la protection de l’environnement, tout en soulignant les difficultés rencontrées, telles que l’insécurité dans certaines régions du pays. Ces obstacles ont parfois entravé l’efficacité des interventions, en particulier dans les zones affectées par des conflits armés ou une gouvernance locale faible. Parmi les points forts du rapport figurent les recommandations clés destinées à améliorer la coopération entre les ONG et le gouvernement. Il est proposé de mettre en place une plateforme commune pour faciliter l’échange d’idées, encourager la synergie entre les différents acteurs et maximiser l’impact des interventions. Le Vice-Premier Ministre Guylain NYEMBO a souligné l’importance de cette initiative pour guider les actions publiques et privées vers un développement inclusif et durable. Un engagement du gouvernement pour un environnement propice au développement Lors de son discours, le VPM Guylain NYEMBO a rassuré les ONG quant à l’engagement du gouvernement à renforcer la paix et la stabilité dans tout le pays. Il a déclaré : « Aux ONG, j’aimerais réitérer ici la ferme détermination du Gouvernement à faire du développement en République Démocratique du Congo, une réalité…Une réalité conçue à travers le renforcement de la paix et de la stabilité sur toute l’étendue du territoire national ; une réalité envisagée à travers la création d’un environnement propice aux investissements multidimensionnels et multisectoriels que seules des politiques publiques ambitieuses et structurelles et édictées selon les lignes directrices consacrées par le Plan National Stratégique de Développement révisé permettront de matérialiser. » Une initiative saluée par les ONG Les ONG présentes ont salué l’initiative du gouvernement et l’effort accompli sous la direction du VPM Guylain NYEMBO. « Je tiens à souligner l’effort colossal réalisé sous la direction de SEM Guylain NYEMBO. Ce document, au-delà des chiffres et des données que nous allons découvrir ensemble, constitue en effet un pas important vers une transparence accrue, non seulement pour les autorités congolaises, mais aussi pour les bailleurs des fonds, la société civile et les citoyens congolais eux-mêmes. Nous sommes très heureux que le Ministère du Plan & CAD ait pris cette initiative », a souligné Luc LAMPIERE, Directeur des ONG internationales en RDC. Le rapport annuel 2023 sur les interventions des ONG et EUP en RDC constitue désormais un cadre essentiel pour guider les actions futures des acteurs de développement en RDC, dans un objectif commun d’amélioration du bien-être des populations à travers tout le territoire. Cellule de Communication & médias Partager Récents